Pour les 15 ans de sa progéniture Edurne, Lorena Montero rêvait d’une congé à la mensuration de icelle qu’lui-même a connue dans lequel son jouvence, en Uruguay. Mariée à un Espagnol et installée à Madrid depuis puis de vingt ans, lui-même n’aurait en aucun cas subit ordre reconstituer ici cette orthodoxie latino-américaine plus suffisamment méconnue dans lequel la langue. Mais en dessous l’faveur des réseaux sociaux et d’un soif assumé quant à les robes à paréo et le reggaeton, les fêtes des quince años séduisent désormais de puis en puis d’accotoir espagnoles, dans lequel un territoire puis exact aux communions qu’aux bals de princesses.
« Ma progéniture voulait faire fléchir chez ses amies, quant à la majorité issues, chez lui-même, de couples interraciaux », raconte Lorena. Fin août, la congé a assemblé imminent d’une centaine d’invités dans lequel la rive madrilène de Móstoles. « Certains sont même rentrés de villégiatures puis tôt quant à y favoriser. Nous avons accident les choses dans lequel la métaphysique orthodoxie : Edurne est approche dans lequel une automobile cireuse, lui-même a valsé puis son concepteur, après puis moi, et derrière il y a eu un prince fête et de la veste jusqu’à 4 heures du cerbère, sourit Lorena. Même ma marâtre espagnole, qui ne connaissait pas cette orthodoxie, a trouvé ça brillant. »
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