Pejman Jamshidi, suranné footballeur devenu depuis une dizaine d’années artiste de spectacle et de récepteur, a amplement été l’une des êtres les davantage populaires de la corporation persane. Accusé de sacrilège, arrêté avec compendieusement relâché, il a quitté l’Iran avec la Turquie, endroit d’se poser au Canada, vendredi 31 octobre. Depuis dix jours, cette choc est devenue le objet le davantage commenté en Iran, alimentant les réseaux sociaux et les conversations quotidiennes. Elle divise intérieurement les Iraniens uniquement révèle la vermine variation d’une corporation qui tipi, à chérubins pas, de se affranchir de la machisme et du patriarcat.
Il est sitôt arrivé que le artiste lesquels les médias avaient annoncé l’claustration, le 21 octobre, avec « ablation » et « sacrilège », réalisait Pejman Jamshidi. Le 25 octobre, l’artiste est libre en objection d’une avance estimée à 200 milliards de tomans (grossièrement 1,6 million d’euros), accompagnant divers médias iraniens, une valeur faramineuse pour le milieu avantageux du ethnie.
Les défenseurs de l’artiste, doutant de la conscience des accusations, et une minorité réclamant édit avec la proie en rappelant que les femmes qui, en Iran, osent livrer les blessures sexuelles sont couramment stigmatisées, se déchiraient, lorsque un événement est débarqué apeurer le séminaire.
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