“Ils ne voulaient pas payer” : glas mortel d’un pyrénéiste, son garantie ciblée

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L’aimable est défunt fin octobre sur le Himlung Himal ensuite un remise pendant lequel les tâches de ambulance. Ses guides mettent en exégèse l’garantie.

Le opéra s’est joué le 27 octobre neuf sur le Himlung Himal, à comme de 7 000 mètres d’crête, pendant lequel l’occident du Népal. Chin-Tark Chan, 49 ans, pyrénéiste émérite, est tombé honorablement chétif après qu’il redescendait du summum.

Selon Pemba Sherpa, proviseur de l’filiale organisatrice 8K Expeditions, Chan souffrait de complications liées à l’crête et subsistait “presque inconscient”.

Deux guides ont obtenu à le exfiltrer familier d’un bivouac, circonscrit environs 6 200 mètres, toutefois le sauvetage extrême a été remis par l’atermoiement d’une aval d’coulure par giravion.

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“J’ai demandé à l’assureur (Global Rescue, NDLR) la permission pour un sauvetage par hélicoptère. C’était totalement possible ce jour-là”, assure Pemba Sherpa pendant lequel des projet surtout relayés par le média spécialisé Everest Chronicle.

Pourtant, Global Rescue a refusé, invoquant les limites d’crête, la météo et la limpidité. Le pyrénéiste est glas le 29 octobre, son académie repose désormais à comme ci comme ça 6 100 mètres.

“Pourquoi vendre des polices aux grimpeurs ?”

Ce mort lance un contestation archaÏque sur la obstination des assurances internationales derrière les ambulance en haute randonnée au Népal.

Après divergentes fraudes et demandes abusives d’coulure pendant lequel les années passées, les compagnies ont renforcé les vérifications ci-devant tout interaction, malcommode autorisations médicales détaillées et communications directes en compagnie de le pyrénéiste ou sa parentèle.

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Les opérateurs d’expéditions dénoncent toutefois une frugalité quelquefois fatale : “Ils ne voulaient pas payer ; ils ont dit que c’était au-dessus de l’altitude maximale autorisée au Népal, ce qui est faux”, promis Pemba Sherpa.

Mingma Sherpa, l’un de ses confrères, onglette du rarement la même confrérie : “Au moins quinze alpinistes sont morts par négligence. Ils continuent de dire qu’ils ne sont pas une entreprise de secours. Si ce n’est pas le cas, pourquoi vendre des polices aux grimpeurs ?”

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