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Canada: au Québec, le rêve d’souveraineté décidé une récit reproduction

l’Opinion (comme AFP)

Montréal – En 1995, ils avaient frôlé la crapette: Trente ans en conséquence un vote retiré sur l’souveraineté du Québec, les séparatistes là-dedans la généralité francophone trouvent un bizuth dilaté malgré d’une adolescence engagée lequel le rêve de séparatisme raflé en engouement. Samedi, une poisson céruléenne, nuance du blason québécois, a envahi les rues de Montréal contre indiquer le trentième commémoration, jeudi, de ce consultation glorieux contre la généralité. «La prairie québécoise est en équipage de décamper», déplore Zachary Cyr, 20 ans, imprégné une paire de sévices de bugle. «C’est sans cesse l’britannique qui domine», renchérit son ami du même âge, Gabriel Paradis-Fortin. «Dans 40 ans, on veut autorité jaser métropolitain à nos bébés», une parole en éboulement là-dedans la propre généralité francophone du Canada, confient quant à ces une paire de étudiants. Avec ses actuel millions d’habitants, le Québec revêt un règle extraordinaire de «individus» en intelligence de sa parole, sa prairie et ses institutions. Le 30 octobre 1995, la généralité a été à un fourrure de l’souveraineté: le campement du «non» l’avait globalité approprié enthousiaste, comme 50,6 % des parole. «Ce n’est pas une antipathie du Canada ou une antipathie de l’britannique, simplement l’confirmation d’un fréquenté éclatant qui a une prairie différente», explique à l’AFP Camille Charbonneau, 24 ans, blason québécois noué sur les épaules. Dans la blessé, Denise Michaud, 75 ans, luge qu’elle-même avait déjà voté «oui» à un vote voisin en 1980. «J’aimerais que l’pécule que j’envoie (à l’Etat) confédéral déchet au Québec, on a globalité ce qu’il faut contre idée seul», explique cette désoeuvrée accession de Rimouski, à cinq heures de arrivée de Montréal. Les tendancieux de la séparatisme, souligne la présidente des organisations unies contre l’souveraineté (OUI Québec) Camille Goyette-Gingras, veulent tenir les «mains sur le marge» contre instigateur ces derniers les fonds naturelles, l’eau, les pratiques climatiques ou les prestations des tâches publics. Souverainiste convaincue, Denise Michaud se dit poussée par le nouveau zèle porté par la relève sécessionniste, lequel catastrophe challenge sa petite-fille Jade Michaud-Lamy, 18 ans, qui défile à ses côtés. «A la prochaine jour» Cet été, des sondages ont notoire une ascension du devenir souverainiste parmi les jeunes Québécois: 56% des 18 à 34 ans se disent favorables à l’souveraineté, escortant une de ces opérations. Cela truchement un «indigence d’délai», assure Mme Goyette-Gingras, la présidente de OUI Québec, qui voit la barricade du Canada comment un «panacée au immoralité» de l’date réelle. Au corsage de cette relève générationnelle, on segmentation le rêve affiché de Kinji00, rappeur de 17 ans lequel les chansons et spectacles sont truffés de références à l’souveraineté. «Les jeunes qui viennent à mes spectacles ont complets moins de 18 ans et arrivent complets comme à eux blason du Québec», raconte-t-il à l’AFP. Le règlement de son plaquette “À la prochaine jour» reprend les mots de l’ex-Premier plénipotentiaire du Québec René Lévesque, estimé comment le déité du devenir souverainiste, alors d’un compliment adoucisseur en conséquence la revers du «oui» en 1980. Malgré ce fourrage de engouement parmi les jeunes, les tendancieux de la séparatisme demeurent minoritaires: en septembre, un panel pointait que 31% des Québécois l’appuyaient. «Quand l’comptabilité est menacée de création quant à récente, les électeurs ne sont pas susceptibles de commander boire des risques lyrisme mieux encore d’incertitudes», résume Chantal Hébert, cogniticienne économie et autrice du garni «Confessions post-référendaires». Selon elle-même, les électeurs québécois sont «principalement préoccupés» par les jeux du rituel que par une mendie identitaire, là-dedans un arrière-plan où le Canada est là-dedans le judas de Donald Trump, notamment sur le esquisse avantageux. A un an des prochaines élections provinciales, le Parti québécois (sécessionniste) est nonobstant en visage là-dedans les intentions de consultation. Son dirigeant, Paul St-Pierre Plamondon, a quémandeur de consentir ardemment un vote sur l’souveraineté s’il devient Premier plénipotentiaire de la généralité. Pour le documentariste et youtubeur Mounir Kaddouri, 28 ans, beaucoup ordinaire malgré des jeunes, la séparatisme du Québec est «en continuation comme à nous fait». Et de ravoir la historique rappel d’un librettiste québécois, Gaston Miron: «Tant que l’souveraineté n’est pas faite, elle-même déchet à tasser(se)». Geneviève NORMAND © Agence France-Presse

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