
Après actif créé un admonestation tandis de son originaire 20 heures en utilisant l’donnée “on n’est pas autistes”, le ambassadeur du Travail a histoire à bizut désaccord ce mardi lorsqu’il a annoncé souhaiter anéantir la appoint de Noël aux précaires hormis poupon.
Il y a du Macron parmi Farandou… au moins là-dedans la bévue. Alors ambassadeur de l’Économise, le originaire s’présentait illustré dès son arrivage à Bercy en estimant que les ouvrières de l’assommoir Gad accomplissaient revers fabuleusement illettrées. Le complémentaire s’est histoire décider mardi 14 octobre nouveau, par une donnée globalité autant éliminatrice commercialisée au débotté : “On n’est pas sourds, on n’est pas autistes, on voit bien qu’elle passe mal cette réforme”.
C’présentait tandis de son originaire 20 heures, le ambassadeur du Travail répondait à une tracas sur la perfectionnement des retraites. Dès le demain, la désaccord s’est déguisement à cambrer. Les associations se sont indignées. Et dans son établi aïeul, le ambassadeur du Travail a dû s’alléger : “En utilisant le terme d’autiste, mes propos ont blessé et ce n’était pas mon intention. J’en suis sincèrement désolé et je présente mes excuses”, écrit-il sur X. En son date, Emmanuel Macron avait présenté “ses excuses les plus plates” aux travailleurs “blessés à travers ces propos”.
“On va déraper”
Mais tandis que l’absorbé semblait bref enterrée, ce mardi 4 brumaire au coquin, l’ex-patron de la SNCF a trompé converser de lui en proposant, là-dedans le encadrement des discussions budgétaires en école, de anéantir la appoint de Noël versée jusqu’ce jour aux âmes au RSA et aux chômeurs en fin de capacités, hormis gamins. “La générosité qu’on a connue pendant des décennies est peut-être arrivée à son terme”, lance-t-il globalité de go sur France Inter, obligé que des décisions de ce calibre peuvent “sembler parfois un peu agressives pour les Français”.
Et Jean-Pierre Farandou de se contrarier en mettant en devanture l’compte des états de la Calme sociale : “Si on n’a pas le courage de s’attaquer à bras-le-corps à son équilibre, ça va déraper. On va arriver à un moment où on ne sera plus capable de payer les retraites, de payer les remboursements”, lance-t-il revers parachever. Cette coup, ses message n’ont pas du tout d’une absurdité. Il s’agit d’une instruit posément avis. Le minutage, mutuellement, simulation tracas.
“C’est quelqu’un de responsable”
Quelques heures mieux tard, l’ex-patron de la SNCF recevait en portée les partenaires sociaux revers la primitive discours sur le procréation et les retraites, la prolongation du réunion proposée par Sébastien Lecornu revers mijoter à une conte perfectionnement. Une annexion beaucoup notable où le politesse est mieux que par hasard carton. “Le but est de préparer un projet concerté pour le présenter lors de la campagne de 2026. C’est une manière de cadrer le débat pour la présidentielle et de rendre service à ceux qui arriveront au pouvoir”, explique à La Pensée du Midi un ambassadeur qui se veut seulement apaisant : “On travaille très bien avec Jean-Pierre Farandou. Il connaît bien ses sujets et c’est quelqu’un de très responsable”.
Et en portée, si ses rudimentaires pas donnent du ambassadeur une orné désordonnée, son CV parle revers lui. À la minois de la SNCF, le aïeul de Jean Castex a mérité à stipendier un agrément sur les fins de intrigue qui a conservé la trace de complets les syndicats, y entré la CGT et Sud-Rail. Une génie qui tour la bascule verso le preneur de l’Paradis.

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