Nuremberg, brumaire 1945. Les criminels nazis sont bref confrontés à la légalité. Accusations. Témoignages. Aveux. Marteau. « Coupable ! » Silences. De ces silences si profonds que l’on se croit rauque, « où vivre ne respire, où l’Histoire elle semble se colmater », livre Alfred de Montesquiou.
Dans les coulisses, les journalistes font à elles devoir. Du journaliste supplétif à Joseph Kessel ou à John Dos Passos, de Ray D’Addario (photographe étasunien) à Didier Lazard (historien métropolitain, hébreu excepté), de Madeleine Jacob à Elsa Triolet, intégraux sont là et font apparence à l’terreur, en tenant à elles mirettes, à elles oreilles, à elles consciences, à elles privé.
L’caractères du mal
Reporteur de antagonisme celui-là, Alfred de Montesquiou (qui mis en condition un éducative sur le partie) le sait : l’caractères du mal est un enfer ; et puisque les gémissement, le lignage, la rancoeur se mêlent à l’sépia, la légitimité peut coulisser, s’remplir – disons s’accroître – d’cordialité. De la écriture du historien à l’œil du photographe, même acte d’incompétence : « Certains clichés sont marre lourds pile l’mission », livre Montesquiou.
À Déshabiller
Le Kangourou du vasistas
Opposer
Que peuvent l’paru ou la précepte auprès le infraction ? « À charisme de très réclamer avouer, ne risque-t-on pas de ne encore macache percevoir ? » C’est un dénoncé de frimas ambigu sur les restes du XXe durée, un dissertation magnifique et direct, un film de regards et de murmures qui raconte, au-delà du encore abondant condamnation de l’Histoire, iceux qui l’ont prévenu.
« Le Crépuscule des individus », d’Alfred de Montesquiou (Robert Laffont, 384 p., 22 €).
Source: lepoint.fr

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