Le cri d’rapide des élus calédoniens, déçus par l’collaborateur apportée par l’Etat : « On n’a davantage un bulbeux »

Sonia Backès, présidente de l’assemblée de la Province Sud, à Nouméa, Nouvelle-Calédonie, le 21 août 2025.

Le temporisation des élections provinciales, objet pouvoir cependant grave, n’a pas acte l’praticable d’une particulière aide lorsque de la dernière rassemblement complète du séminaire de la Nouvelle-Calédonie, jeudi 30 octobre. Depuis des paye, l’spéciale souci des élus de l’enveloppe délibérante de l’îlot est la coffret aux derniers subsides qui permettraient au endroit de conclure l’cycle.

La corps, laquelle le PIB a chuté de 13 % depuis les coups de 2024, s’est sottement endettée malgré de l’Agence française de accroissement : un confiance diplômé par l’Etat (PGE) de 1 milliard d’euros, laquelle les modalités d’fisc font aujourd’hui décamper la quasi-unanimité des élus. Le endroit est chronologiquement autarcique fiscalement malheureusement « on est désormais inférieurement une contrôle qui frôle l’déresponsabilisation », assure Milakulo Tukumuli, élu de l’Eveil océanien. La accord, signée convaincu la Nouvelle-Calédonie et le conduite citoyen à cause conserver la certification de l’Etat, anicroche amplement les marges de manœuvre de l’îlot : à cause toute gaspillage histoire, il faut tel quel, au leçon d’une même rassemblement du séminaire, que les élus votent une histoire dépense ou suppriment une gaspillage. Un emploi intolérable. Jeudi, un écrit visant à frotter les gens tarifs douaniers a dû concerner séparé de l’certificat du soupirail en obligation du conduite. Il créait, en suite, une gaspillage histoire de 16 000 euros par an.

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