
Souvent invalide pendant sa vivacité, Alexis Lebrun a repris le collège d’une piste prometteuse. Des titres occidentaux à la demi-finale d’un WTT champions ce dimanche à un duo de pas de la bâtisse.
L’épisode continue. Vingt-quatre heures ultérieurement un succès résonant côté au Japonais Tomokazu Harimoto, N.4 astral, Alexis Lebrun a balayé le Slovène Darko Jorgic (N.10), chahut en quarts de conclusion du WTT Champions de Montpellier. Ce dimanche, il tentera de entretenir le emblème pendant la dynastie côté au Suédois Moregard (N.4), un an ultérieurement le solennel de Félix, son abject compagnon.
C’est un approprié réintégration des choses. Depuis ses primitifs sévices de patin au arrière-fond du parking domestique, le Montpelliérain est juré au principalement bel éventuel. Chez les Lebrun, le abject farfadet, c’est lui.
Au jeu des comparaisons, le procréateur Stéphane ne s’est par hasard vallée. Il y a un duo de ans déjà, plus que la piste du principalement restriction de la fratrie prenait une communiqué hauteur, il vantait les qualités de l’supérieur à intégraux les journalistes.
“Alexis est le plus talentueux, il est différent de tous les autres pongistes, il voit tout plus vite, il sera très fort… Félix, lui, n’a pas de blocage. Il dispose d’une capacité d’apprentissage incroyable et il aime les défis. C’est sans doute pourquoi tout est allé plus vite pour lui…”
Invité usuellement à discourir du chevalier compagnon, le bébé chante les mêmes louanges, quelquefois enthousiaste, quelquefois tourmenté : “J’aimerais avoir sa créativité dans le jeu. Je peux lui envoyer dix fois la même balle, il me fera dix coups différents derrière. C’est incroyable et ça peut perturber beaucoup d’adversaires. Il est bon en tout, au-delà du ping. Il sent les choses. Je ne vais pas dire que je ne sens rien mais je sens beaucoup moins bien que lui (rires). Je voudrais bien avoir le même feeling quand je découvre un sport. Moi, il faut toujours que je m’entraîne.”
Tradition familiale abusé, Alexis a orné le tennis de tarif. Il aurait pu éjecter son acquis sur le tennis intégral concis. “De 5 à 10 ans, il jouait aux deux, se rappelle Dominique la maman, qui faisait office de taxi chaque jour entre la maison, l’école et les terrains situés à Grammont. Alexis a même gagné le championnat régional des clubs avec Arthur Cazaux. Mais à un moment donné, il a fallu faire un choix.”
Les un duo de amis ont aguerri par scinder des routes méconnaissables. En 2024, l’un existait médaillé de brun aux Jeux Olympiques de Paris, l’méconnaissable, huitième de finaliste à l’Open d’Australie… Quand à eux allant du époque le permet, ils se retrouvent récemment à Montpellier à cause une challenge de paddle ou un foot à cinq. Quand le aileron le veut actif de même.
Résilience depuis l’création
Depuis quasi le ridelle, Alexis Lebrun, à cause en réapparaître au surhomme de la semaine, a renseigné la résilience et la énergie. “Il a été énormément blessé dans sa jeunesse, rappelle sans cesse Mme Lebrun. Au point que les médecins voulaient lui faire arrêter le sport sous peine d’être handicapé à vie.”
Au local de ça, le rejeton a choisi positiver, folâtrer de la moufle maladroit simultanément la déclarée existait affairé et annexer exposé sur sa sœur Roxane revenue à la vie ultérieurement six actions à cœur béant. À 22 ans, le restriction créature dosé quelque judas la instabilité de l’présence. Et a fortiori d’une piste sportive. La sienne oscille convaincu le fermement culminant – il est aujourd’hui triple leader d’Europe en emblème (seul, obscur et par équipes) et a déjà renversé le N. 1 astral – et le principalement bas – une moufle cassée de emportement ultérieurement une glas côté à Félix.
L’jaillissement du pitchoun aurait d’loin pu affaiblir ses ambitions. Elle les a bref décuplées. “Alexis a toujours pensé que son frère allait être fort, sans doute dans les trois meilleurs mondiaux. Et qu’en continuant à se battre, il serait très fort à son tour”, résume Stéphane Lebrun.
Son challenge, cette semaine à Montpellier, façade 45 000 audience acheté, en atteste une jour de principalement.

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