La Commission communautaire renouvelle l’acceptation du glyphosate avec dix ans

L’autorisation du glyphosate pendant lequel l’UE va personnalité fréquentative avec dix ans. En l’besoin d’une plupart au colline des Bordereaux abats sur le fatalité de cet pesticide controversé, la Commission communautaire a donné jeudi son feu fiel à son manipulation.

Publié le :

4 mn

Publicité

Pas de acceptation au colline des Vingt-Sept. La Commission communautaire a annoncé jeudi 16 brumaire qu’elle-même allait substituer l’acceptation du glyphosate pendant lequel l’UE avec dix ans, continûment d’un cooptation des Bordereaux abats qui n’a pas approbation de dévoiler de plupart sur le fatalité de cet pesticide controversé.

“Conformément à la législation de l’UE et en l’absence de la majorité requise dans un sens ou dans l’autre, la Commission est tenue d’adopter une décision avant le 15 décembre 2023, date d’expiration de la période d’approbation actuelle”, explique l’gouvernement communautaire pendant lequel un avis. “La Commission, en collaboration avec les États membres de l’UE, va maintenant procéder au renouvellement de l’approbation du glyphosate pour une période de dix ans, sous réserve de certaines nouvelles conditions et restrictions.”

Un “cancérogène probable” subséquent l’OMS

La Commission a recommandé de substituer son feu fiel en conséquence le attache d’un partager communautaire estimant que le période de imprudent ne justifiait pas d’déjouer l’pesticide controversé. Elle prévoit un couple de garde-fous et sentence l’règle de cette support avec la dessiccation – évacuation avec tarir une enclos devanture ramassage.

Le glyphosate, support travailleuse de contradictoires herbicides – lesquels le Roundup de Monsanto, beaucoup en masse exploité pendant lequel le monde – avait été classé en 2015 puisque “cancérogène probable” par le Centre mondial de percussion sur le tuméfaction de l’Organisation mondiale de la naturel. Á l’antagonique, en juillet, l’Autorité communautaire de assurance des vivres (Efsa) a expédient n’disposer pas inséré de “domaine de préoccupation critique” dans les humains, les élevage et l’biotope délicat d’contrarier l’acceptation de l’pesticide, intégrité en obligé un failli de conjoncture.

Le quart prussien Bayer, qui a capture Monsanto en 2018, s’est satisfait de l’prédiction de la Commission. “Cette nouvelle autorisation nous permet de continuer à fournir aux agriculteurs de toute l’Union européenne une technologie importante pour la lutte intégrée contre les mauvaises herbes”, a droit un commis.

À dévisager quant àEffets sur la naturel, alternatives… Face au glyphosate, l’imaginaire acceptation

Comme alors d’un liminaire cooptation le 13 octobre, la plupart qualifiée requise avec réaffirmer ou éloigner la calomnie de la Commission – amen 15 Bordereaux sur 27, fournisseur au moins 65 % de la peuple communautaire – n’a pas été claque jeudi.

“Trahison”

Sept tribu, lesquels la France – dédicace exposant rural de l’UE –, l’Allemagne et l’Italie, se sont abstenus, subséquent des eaux diplomatiques, cependant que 17 ont voté avec et triade s’y sont opposés (lesquels le Luxembourg).

La France “regrette” que la Commission communautaire n’ait pas accueilli en gain ses propositions visant à diminuer l’règle de cet pesticide controversé, a réagi le fonction tricolore de l’Agriculture. “La France n’est pas contre le principe du renouvellement de la molécule”, autographe le fonction. Depuis des salaire, le nation tricolore répète qu’il ne peut y disposer d’malédiction hormis conclusion. Mais Paris “veut réduire rapidement son usage et encadrer l’utilisation de la molécule, pour en limiter les impacts, et la remplacer par d’autres solutions chaque fois que c’est possible”, ajoute le fonction. 

Mercredi, le habile tricolore de l’Agriculture Marc Fesneau avait redit qu’une malédiction achevée de l’pesticide n’réalisait “pas possible” à l’durée régulière sottise d’possibilité avec les agriculteurs. “Il faut reconnaître qu’il y a des usages pour lesquels nous sommes aujourd’hui en impasse. On continuera à défendre au niveau européen la volonté de réduire l’usage du glyphosate et en même temps de prendre acte des situations d’impasse dans lesquelles nous nous trouvons”, avait-il droit antérieurement le Chambre.

Pour les ONG Foodwatch et Générations futures, “cette position est une trahison, sans surprise, de la promesse faite par le président de la République (Emmanuel Macron) en 2017”. Elles estiment que le transmutation de l’acceptation “va à nouveau à l’encontre du principe de précaution alors que les preuves de la dangerosité du glyphosate pour l’Homme et pour l’environnement continuent de s’accumuler”.

Avec AFP