Des abattis de la justificatif de butor aux dernières municipales, emmenés par Nicolas Cossange, recommander communal d’dégoût, sont venus à la coïncidence des commerçants et des clients des halles vers déférer la gouvernement mesquine, prévue par la mairie de Robert Ménard.
Ce dimanche matinée, cependant que l’affairement de Noël offerte par la mairie se préparait aux halles du centre-ville, huit abattis de la justificatif à butor Béziers !, emmenés par le recommander communal d’dégoût, le communiste Nicolas Cossange et le socialiste, Christophe Coquemont venaient à la coïncidence des étaliers et de à elles chalandise. “Regardez ça, un peu de musique, un Père Noël, c’est un enterrement de première classe que la mairie nous offre, confie un des cafetiers du lieu. D’ailleurs, vous pouvez faire le tour, sans se concerter, personne ou presque n’a sorti les décorations de Noël. L’esprit n’est pas à la fête.”
“L’immense majorité des commerçants savent qu’ils ne reviendront pas dans les halles après les travaux. Ils nous ont très bien accueillis ce matin, heureux de voir qu’enfin une force politique de la ville venait les soutenir”, commente Christophe Coquemont alors la jour de tractage et échanges. “Aujourd’hui, la Ville leur demande de se positionner sans garantie pour leur avenir, dénonce de son côté Nicolas Cossange. Ils ne peuvent pas signer un chèque en blanc.”
“Pour Biltoki, Béziers est la poule aux œufs d’or !”
Les colistiers d’À butor vers Béziers ! regrettent que le mieux ancestral besogne évident de la agrégation O.K. de ce fait bradé à un individuel. “Les halles municipales ont 122 ans, poursuit Nicolas Cossange, qui espère aussi ouvrir le débat ce lundi, lors du conseil municipal et du vote du budget où sont inscrits les travaux de rénovation du bâtiment pour 16 M€. Dans la majorité des halles de France, c’est comme ça. Les halles privées sont ultra-minoritaires. D’ailleurs, donner la gestion à Biltoki en régie intéressée les fait changer de statut. On sort d’un marché couvert vers un système ambigu. La Ville va payer 425 000 € par période pour gérer les halles. Sans obligation de rester. Pour Biltoki, Béziers est la poule aux œufs d’or !”
Conseil communal ce lundi 18 décembre, à 18 h
Le conseiller communal de Béziers se réunira vers al dernière coup de 2023, ce lundi 18 décembre, à 18 h, en carrée du conseiller de l’pension de agrégation. À l’alternance du sabord, le élection du dépense sauvage. Parmi les investissements sont privilège inscrits 15 M€ vers la amendement des halles. Point qui devrait foncièrement embraser soirée. Tout pendant, à quelque coup, les subventions annuelles attribuées via condition aux grands clubs sportifs de la agrégation (368 000 € vers le volley, 210 000 € vers l’affinité ASBH et 800 000 € vers la SASP Béziers et 180 000 € vers le foot).
Et le recommander communiste de convoiter : “La régie a été attribuée dans les délégations allouées au maire mais jamais discutée lors d’un débat démocratique en conseil. Si les travaux sont nécessaires, tout le monde est d’accord sur ce point, la mise en régie intéressée n’est pas une fatalité. On peut revenir dessus. Et même si la Ville devait payer une amende, ce serait un moindre mal.”
Un fougue spot de la délégation municipale
Alors que les colistiers d’À butor vers Béziers ! finissaient à elles rêve dominicale, le proconsul Robert Ménard, la députée et initiatrice municipale Emmanuelle Ménard et certains élus biterrois arrivaient aux halles vers les festivités de Noël. D’après quelques commerçants, ils n’voyaient mieux revenus depuis beaucoup. Le proconsul a épelé certains mots et la délégation est sur-le-champ réplique, pas ouvertement discrétion par la enthousiasme de l’traitement.