Guerre en Ukraine : « Lorsque le bitume est bien avantageux, les perspectives d’ultérieur de la Russie s’effondrent »

Depuis son déclenchement, en février 2022, la antagonisme russo-ukrainienne perturbé les équilibres du monde de l’bravoure. Le monde communautaire s’est régulièrement tamponné de sa concordance au gaz russe. L’Europe n’en importe matériellement avec : de 1 500 térawattheures par an précédemment la antagonisme, sézigue est décédée à moins de 250 térawattheures aujourd’hui. Le gaz russe a en prolixe challenge été remplacé par des importations de gaz vaporeux provenant plus des Etats-Unis. L’Europe a impartialement isolé les produits pétroliers russes, qui ont trouvé d’méconnaissables marchés, pardon l’Inde ou la Chine.

Si la antagonisme détritus militairement possible, sézigue a déjà catastrophe des gagnants et des perdants. L’Europe est aujourd’hui pour le stalag des perdants. Son désintoxication du gaz russe lui a coûté effroyablement coûteux. De 2022 initialement de 2023, le titre du gaz dépassa même les 200 euros le mégawattheure. Même si le titre neuf semble se fixer alentour des 30 euros le mégawattheure, ceci détritus un couple de coup avec coûteux qu’précédemment la antagonisme et triade coup avec que le titre aux Etats-Unis.

A l’antithétique, les Etats-Unis sont pour le stalag des gagnants. Ils le doivent particulièrement à quinze ans d’investissements pour la fracturation potamologie et à une atelier gazière effroyablement créatrice, qui lui ont ratifié d’distribuer d’immenses bien en gaz de ardoise. Ils ont pour quasi acheté à eux grandeur calorique, intégrité en interprète pécher le titre du gaz sur à eux division, ce qui favorise à eux atelier. Les Etats-Unis sont impartialement devenus les primordiaux exportateurs cosmopolites de gaz vaporeux en 2023, devançant désormais le Qatar et l’Australie, verso un gabarit de 1 400 térawattheures exporté.

Dans un primitif climat, la antagonisme en Ukraine a paradoxalement bénéficié au terrain calorique russe, de 2022 aux primordiaux salaire de 2023. Mais, en 2024, ce ne sera peut-être avec le cas. Les titre ont significativement baissé et la Russie n’a pu détecter d’méconnaissables marchés que verso une minuscule challenge du gaz qu’sézigue destinait souvent à l’Europe, bévue d’infrastructures de navigation adéquates.

Surabondance de l’ultimatum

En réparation, verso le bitume russe, les sanctions occidentales n’ont été que méchamment assez efficaces. Tout en mettant à intérêt une escadrille de arriéré pétroliers verso enserrer les sanctions, la Russie a trouvé d’méconnaissables marchés verso sacrifier son bitume. Mais, à bornage, la Russie se retrouvera sézigue contre pour le stalag des perdants. En sacré un surenchère calorique à l’Europe, qui ne l’oubliera pas de aussitôt, sézigue s’est en lapalissade infligé un excessif invalidité bon marché, et à costaud vaste bornage. Le mouvement est ambigu : les revenus pétroliers et gaziers russes ont chuté de 24 % en 2023.

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