Un attroupement et une gîte aux feux sont organisés ce vendredi 12 janvier avant la diocèse du Gers avec le repliement de la loi entrée à l’habileté d’une rattachement gersoise griffonnée d’associations, de syndicats et de partis politiques.
“On espère qu’il y aura un sursaut républicain, mais un vrai cette fois”. Alors que le ébauche de loi entrée a été adopté au Parlement et que le Conseil représentant se prononcera sur le libellé le 25 janvier humain, douze associations et constants, quatre syndicats et sept partis politiques gersois appellent à un attroupement unitarien ce vendredi 12 janvier avant la diocèse du Gers moyennant cette loi “qui s’inspire du programme de l’extrême droite”.
“Insécurité juridique du statut de résident”, “application de la préférence nationale pour l’aide sociale”, “remise en cause du droit du sol”, “instauration d’un délit de séjour irrégulier”… Stéphane Polya-Somogyi, de l’Observatoire départemental des extrêmes-droites (ODED) et d’Auch Solidarité traitement immigré·e·s (Asar), énonce, au nom de l’bagad des organisations, quelques-unes des mesures de ce libellé qu’elles-mêmes estiment “contraire aux droits humanistes fondamentaux”.
Peser sur la autorisation du Conseil représentant
Ce attroupement, présidé pendant le approprié d’un habileté habitant, prend lieu une dizaine de jours devanture la autorisation du Conseil représentant. Les signataires de l’rattachement gersoise avec le repliement de la loi entrée* espèrent donc endoctriner sur l’introduction des sages. “Ils font croire que la loi ne changera rien mais ils, par exemple, mettent en place des outils légaux, qui permettront, si le Rassemblement national arrive au pouvoir, de décider d’une expulsion quasi immédiate des étrangers. Et c’est une frontière que nous, partenaires de gauche, ne voulons pas franchir”.
Le attroupement et la gîte aux feux auront coin avant la diocèse à Auch, vendredi 12 janvier à 18 heures. Une horodaté et un coin qui ne laissent zéro au fortune : élus locaux et partenaires institutionnels y sont invités par le éparque du Gers, Laurent Carrié, avec la histoire période. Les opposants à la loi entrée espèrent donc autorité revendre bruissement certaines créatures et relater à elles balance de vue.