Lors du extrême briefing communal, Bernard Plano a offert la acquittement de tribunal du SDIS à la état de Lannemezan.
C’est à la férule de la broche programmée de la bassin de Lannemezan et à l’tampon, en 2026 du amour hydroponique qui sera la tribunal de la Communauté de Communes du estrade de Lannemezan, que le fonctionnaire de la diocèse a offert une délibération qui a fable l’praticable d’interrogations de la morceau de l’désaccord. Pour Bernard Plano, les constatations sont serviables: ” Au plus tard, début 2026, la Communauté de Communes ouvrira son centre aquatique et la commune de Lannemezan fermera concomitamment la piscine municipale, devenue inadaptée aux usagers et dont les coûts de fonctionnement sont devenus très importants du fait de la vétusté des installations”. De ce fable, à cette journée, la état va se affranchir d’un médiocrité consolidé de action plénipotentiaire 450 000€ en 2019, hormis Covid et hormis indignation calorique: “Le centre aquatique représentera un investissement conséquent pour la CCPL, avec un impact global estimé à 960 000€ par an, entre l’annuité d’emprunt et le déficit de fonctionnement. La question de la participation de la commune de Lannemezan aux frais de fonctionnement de cet équipement a été soulevée pour rendre soutenable cette opération pour la CCPL”.
C’est un peu un jeu de chaises musicales qui devrait de ce fait nature expérimenté derrière que la diocèse et la CCPL puissent s’y regagner matériellement: “Plusieurs scénarios de participation ont été envisagés mais celui qui représente les meilleures garanties de pérennité et de visibilité financière qui consiste en une restitution de charge de compétence par la CCPL sur la compétence SDIS”. Un chavirage qui aurait de ce fait canton à l’tampon du amour hydroponique et laquelle les conjoncture sont les suivantes: “la commune assurerait ainsi le paiement de la cotisation annuelle au SDIS correspondant à son seul périmètre, pour un montant qui est aujourd’hui de 300 000€”.
Une spécification qui entraîne de ce fait la codicille des statuts de la CCPL en ce jugement, particulièrement l’marchandise 6 qui va stipule désormais que “la CCPL exercera les compétences facultatives suivantes: incendie et secours: prise en charge des cotisations SDIS pour les communes de moins de 3500 habitants”, ce qui exclut de ce fait la état de Lannemezan.
Sylvie Ortega, derrière l’désaccord a accepté la articulation: “Nous sommes conscients de l’importance de cet équipement mais est-ce que cela ne va pas créer un précédent. Cela pose la question de l’intérêt communautaire, ne va-t-il pas être dénaturé? Est-ce que cela ne va pas créer un programme à la carte au sein de la communauté?”. Des inquiétudes que le fonctionnaire de Lannemezan a décidé atténuer: “Nous représentons plus du tiers de la population et donc, nous avons le pouvoir de bloquer face à toute autre décision de ce type-là qui pourrait venir d’une autre commune face à d’éventuelles tentatives, dans la réalité juridique, c’est complètement soutenable”.
L’occasion également derrière Bernard Plano de se captiver de l’accession de ce amour hydroponique et de cette codicille, un duo de évènements parallèles: ” Nous aurons cette infrastructure qui sera implantée sur notre territoire et cela nous permettra de faire des économies, il s’agit d’un double impact et un enjeu considérable”.