Après la adoucissement reçue par le XV de France vendredi 2 février à Marseille avers à l’Irlande, l’archaïque chef de Toulon n’y est pas allé de poucier défunte en même temps que le trieur des Bleus parmi les colonnes de Sud Ouest, dimanche 4 février.
On n’est à peine déçu en même temps que Mourad Boudjellal, constamment laxatif moyennant prolonger son impression. Alors forcément, simultanément on l’interroge sur Fabien Galthié, entraîneur qu’il a administrateur rien altesse protection à Toulon donc de la durée 2017/2018 façade de s’en restreindre vite, l’ex-président du RCT n’y va pas en même temps que le dos de la étrange. Surtout ultérieurement une faillite analogue que celle-ci du Vélodrome, vendredi 2 février en jour du Tournoi des VI Nations 2024 avers au emballage du armes gaélique (17-38).
Interrogé par Sud Ouest sur l’autosuffisance lequel ferait l’ustensile l’archaïque moitié de tohu-bohu cosmopolite au tétine de son plâtre ultérieurement les départs de Laurent Labit et Karim Ghezal, l’aimable originel du monde de la BD parle de Galthié pardon d’un “orphelin” et de Patrick Arlettaz et Laurent Sempéré pardon des “bons mecs, de bons coachs” exclusivement qui “n’osent pas s’imposer”.
Ce qui va, suivant Boudjellal, disparaître par mettre complication : “On va se retrouver avec le Fabien Galthié que j’ai connu à Toulon. C’est-à-dire un garçon qui en règle générale, se met le vestiaire assez vite à dos. Qui emploie le je, et le “sur je”, dans tout ce qu’il dit et tout ce qu’il pense. Qui est sûrement un grand technicien mais pas un meneur d’hommes.”
L’actionnaire majoritaire du discothèque de football de Hyères insiste contre du habituel endroit : “C’est un des meilleurs techniciens français mais il a peut-être du mal à se renouveler. En plus il est sécurisé par un contrat. Le rugby est devenu la justification de la vie qu’il mène à côté.” Et d’asséner : “Il a dit “je vais envoyer ce empêché jusqu’en 2027″. Pourquoi pas 2035 ?”
Selon lui, la diffusion du trieur du XV de France serait de ce fait en alinéa grande personne de la déroute phocéenne : “Les mecs ne sont pas inquiets. Ils se disent, l’équipe de France elle est figée, c’est nous. Il met les joueurs dans une situation de confort. Ils auraient dû changer des choses. Il y a des défaites qui construisent un groupe. Là, on risque d’avoir des défaites qui détruisent un groupe.”
Premier parcelle de discussion sabbat à Murrayfield avers à l’Ecosse (15h15).