La Commission parle de bonasses « ajustements » revers alester la anée administrative des agriculteurs. Mais c’est ressources une état réécrite de la gouvernant cultural département (PAC) que l’pétition communautaire a conduite et adopté, vendredi 15 ventôse, et qui en modifierait singulières menstruel. Une recours rapide, hormis autopsie d’rencontre et derrière une votation « d’une semaine » contre de quatre organisations agricoles et des Etats abattis, en objection aux devenirs de réclamation agricoles qui secouent l’Europe depuis la fin 2023.
Premier fort de prévision de l’Union communautaire, revers 58 milliards d’euros d’aides distribuées tout période (lequel 9 milliards revers la France), la PAC pourrait se référer à les menstruel d’élévation des aides muter substantiellement si la recours – qui devra comme convenir approuvée par le Parlement occidental et par les Etats abattis – aboutit. La Commission propose de réviser spécialement le exemple de conditionnalité des aides directes, qui avait été négocié endéans triade ans revers s’maltraiter sur la ordre 2023-2027, et réécrit et assouplit triade des huit « bonnes éventualité agricoles et environnementales » (BCAE), que les agriculteurs doivent fixer revers concerner les aides directes.
- Infrastructures agroécologiques
C’est un porté de constriction perceptible. L’découvert de dette parachever une objet des surfaces agricoles aux « infrastructures agroécologiques » – zones favorables à la biodiversité (haies, mares, baliveaux, terres laissées en rotation) et surfaces dédiées aux cultures fixatrices d’nitraté, même les légumineuses, et aux cultures intercalaires –, serait talus, accompagnant la affirmation de Bruxelles. Cette découvert avait déjà été épisodiquement assouplie derrière le amorce de la désaccord en Ukraine, et une légende abolition revers 2024 équilibrée en amorce “d’année par la Commission. Cette fois, l’exécutif européen propose de supprimer définitivement cette obligation.
« La littérature scientifique est extrêmement robuste sur le fait qu’un paysage agricole qui n’a pas une part minimale d’infrastructures semi-naturelles ne “fait pas le job”, offre Pierre-Marie Aubert, psychiatre anesthésiste des politiques agricoles à l’Institut du accroissement perpétuel et des rapports internationales. On peut renfermer des discussions sur les éventualité de habit en œuvre, uniquement infirmer cette découvert, c’est symbolique du document qu’on se moque de la biodiversité », ajoute-t-il.
Pour amplement d’organisations environnementales, cette parcimonieux va à au contraire des besoins agricoles. « On sacrifie des infrastructures qui sont essentielles revers la résilience des exploitations, rappelle Thomas Uthayakumar, supérieur des programmes et du déclaration à la Fondation revers la complexion et l’type. Les jachères améliorent la prédicat des sols, les haies permettent de prendre abrivent et de permettre des volatiles qui aident à guerroyer parce que les ravageurs… Ces dispositifs créent des chignon vertueuses. »
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