Assises de la rapport : “Nous allons travailler sur d’autres dérogations pour vous faciliter la vie”, déclare la consul Dominique Faure

Statut du substitut, passif, facilité des démarches, etc. Cinq élus gardois présentaient façade à la consul déléguée aux Collectivités territoriales et à la Ruralité, ce jeudi 7 germinal, à La Grand-Combe, entre les Cévennes gardoises.

Face à Dominique Faure, la consul déléguée aux Collectivités territoriales et à la Ruralité, Jean-Luc Gibelin, vice-président de la Land Occitanie en excessif des éclatement, est le initial à dégainer sur le antienne de la “simplification”, en impératif sur la réouverture des échelons de berme de fer : “Aidez-nous pour que nous puissions ouvrir, même si nous devons ensuite nous mettre en conformité sous dix ou quinze ans.” Pour souligner son prédication, il évoque les passages à standing de la défilé Alès-Bessèges, entre le Gard, qui devrait débloquer en 2028. “Je vais faire remonter vos demandes…”, répond-elle, en vidéoconférence, face à que l’élu bâtiment, entre la comédie des pendus de la Maison du deuxième, à La Grand-Combe, ne reprenne la proverbe : “Il y a des choses qui peuvent se faire rapidement et répondre à la réalité.” “C’est ce que j’attends de ces échanges”, déroule Dominique Faure. “Que l’on avance sur des choses concrètes. Là, j’ai un sujet sur lequel je reviendrai vers vous avec des éléments concrets…”

La consul interpellée sur la passif

Directs, les échanges le sont. Ainsi, Laurence Baldit, la substitut grandcombienne, ne offensé pas d’héler ce adhérent du gouverne sur les coupes budgétaires nouvellement annoncées, spécialement en objet de développement biotique : “Ceci ne manque pas de nous inquiéter, nous qui travaillons sur la rénovation énergétique de nos écoles.” La consul répond donc en s’attardant sur une passif nationale “transpartisane”, face à que la gagnante magistrate cévenole n’prévu que “tous les moyens pour résorber cette dette n’ont pas été abordés”.

“On ne parle que des métropoles”

De pouvoir, il est assurément embarras. Christophe Rivenq, responsable d’Alès Agglomération, déclare qu’“on a le sentiment que tout est fait pour les métropoles, l’hypermétropolisation. Le chef de l’État ne parle que d’elles. Il faut traiter tous les habitants du pays de la même façon.” Lui biseau les “injonctions contradictoires” que subissent les élus, au section, spécialement de la Ânerie artificialisation droite (ZAN), des mobilités, des tertiaire publics. L’Alésien est, lui encore, séide de la facilité des procédures, et sonne donc la excessif pour les administrations : “Elles nous empêchent d’avancer. Il suffit de les mettre au pas des élus. Je compte sur vous !” Dans la comédie, les maires présents applaudissent.

“Je suis la ministre de tous les territoires”

Dominique Faure cirque de rasséréner son officiel. Elle parle des “villes moyennes”, face à que Christophe Rivenq ne la reprenne en précisant qu’il s’agit de “ville à taille humaine”. Ce adhérent du gouverne Attal plant son prédication : “Je suis la ministre de tous les territoires et ces villes sont très intéressantes car très attractives pour nos concitoyens […] On porte une politique des différences qui ne se voit pas encore. Nous allons travailler sur d’autres dérogations pour vous faciliter la vie…”

Une “inquiétude majeure” derrière 2026

Julie Lopez-Dubreuil, la substitut de Saint-Jean-du-Pin, une ordinaire adjacente d’Alès, ramène le rassemblement sur ce qu’est d’idée élu en 2024. Soit contre tour de “passionnant”, d’“enrichissant”. Mais elle-même “s’inquiète beaucoup pour 2026. Il y a eu le Covid, avec les gens qui se referment sur eux. Et je ne peux qu’encourager à s’investir pour l’intérêt général. J’ai peur que les vocations soient très très rares. Il s’agit d’une inquiétude majeure.”

Mieux financer les élus

Alors que la consul “partage” ce prédication et parle d’“urgence démocratique”, Jean-Yves Chapelet, le substitut de Bagnols-sur-Cèze, abonde entre le connotation de Julie Lopez-Dubreuil, en ajoutant que derrière idée substitut aujourd’hui, “il faut avoir le cuir et résister à la bêtise humaine”. Il se façade “très content” que Dominique Faure prenne le matière du convention de l’élu “à bras-le-corps. On le demande depuis longtemps.” Car la consul, qui miniature imitation au Chambre sur la prétexte de loi sur le convention de l’élu garçonnière, souhaite “augmenter les indemnités”. À l’ouïr, le substitut, “il faut mieux le protéger, mieux le rémunérer”. “En tant que ministre, vous avez à donner une image positive de l’élu local. C’est essentiel pour 2026 !”, insiste Sylvain André, substitut de Cendras, aux portes des Cévennes, et responsable de l’Association des maires ruraux, face à d’venir, lui encore, des problématiques d’tour bureaucratique.

Rivenq décroche déjà un rancart à Paris

Cette répertoire corpulente sera-t-elle suivie d’haillon ? Dominique Faure conclut son prédication en se convexe contre Christophe Rivenq, qui se montrait plagiat à repriser à Paris derrière venir derrière elle-même maints sujets. “Un rendez-vous est planifié”, lui indique-t-elle, en riant. “Suite à un appel d’une extrême réactivité de vos services.”