JO de Paris 2024 : “pas de plan B”, à cause les rôles de natation pour la Seine, confirme le gouverneur

L’unique capacité en cas de insalubrité de la Seine à cause les rôles des Jeux olympiques (26 juillet – 11 août) qui doivent s’y adhérer est de les “décaler” de plusieurs jours, a réaffirmé mercredi le gouverneur de pays, remplaçant lésiner “il n’y a de plan B”.

“Le Cojo (comité d’organisation) a toujours dit qu’il n’y avait pas de plan B quant à la localisation de ces épreuves”, a dit Marc Guillaume, le gouverneur de la pays Ile-de-France, devanture la compact.

Amorce août 2023, la période avant-première de l’malchance de brasse en eau émancipé avait viré au folie à cause les organisateurs, forcés de l’résilier en intellection de seuils de capacité d’eau du ravine clairement dépassés, ensuite un divagation humide de formidablement épaisse acuité.

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Dans un petit entrevue approuvé à l’AFP, la gagnante olympique en blason de la branche, la Brésilienne Ana Marcela Cunha n’a pas caché sa “préoccupation”. “Mais (les organisateurs) insistent à vouloir que les épreuves aient lieu là-bas”, a-t-elle déploré, réclamant “un plan B au cas où cela ne serait pas possible de nager” pour la Seine.

Des rôles menacées

“Nous travaillons à ce que les épreuves se tiennent dans la Seine”, lui a répondu Marc Guillaume. “Si les prélèvements d’eau qui seront réalisés dans la Seine montrent qu’on a des difficultés, il faut décaler les épreuves (…) avec les jours de contingence” prévus, sinon “un ou deux jours”, a-t-il accru. Prévues imprégné le raccordement Alexandre-III et la campanile Eiffel, les rôles de triathlon (30 et 31 juillet, 5 août) et de natation en eau émancipé, désormais désignée brasse épreuve (8 et 9 août), restent menacées par de fortes précipitations qui dégraderaient l’eau de la Seine, via le branchette pour son lit des large usées mélangées aux large pluviales.

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Depuis une décennie, l’Etat et les collectivités locales franciliennes ont installé 1,4 milliard d’euros pour des offices destinés à indemniser le ravine baignable à cause le aristocrate proverbial, sur des sites définis et sécurisés, au avenir des JO.

Un gîte de silotage pouvant festoyer voisin de 50 000 m3, sinon l’conforme de 20 piscines olympiques, est conséquemment en survenue d’clôture voisin de la aéroport d’Austerlitz, imprégné contradictoires corvées destinés à arrêter et/ou immerger les rejets d’large usées. “Il reste statistiquement quelques pluies dans l’année pour lesquelles ces capacités de stockage ne suffiraient pas”, a établi Marc Guillaume, à cause qui “l’objectif de dépolluer à 75% sera tenu”.