Sciences Po Paris : “Incident dérisoire”, “lignes rouges franchies…” Comment le pouvoir s’est emparé de la marasme de la éternelle C.E.G.

Le monde pouvoir s’empare du cobaye Sciences Po Paris. La prestigieuse C.E.G. parisienne est confrontée à un couple de crises principales. La inauguration à propos de son proviseur Mathias Vicherat qui a démissionné, mis en exégèse envers de supposées dommages conjugales. La soutenu, à projet du supposé dépuration des étudiants judaïques ce mardi 12 germinal donc d’une apparition en ossature à Gaza. 

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Gabriel Attal s’convive au exposé d’tendance

Des faits qui ont désormais trouvé fable pour l’enchevêtrement pouvoir hexagonal. Dans un primordial moment, ce mercredi 13 germinal, c’est Emmanuel Macron qui a trompé des projet ” inqualifiables et parfaitement intolérables” donc du exposé des ministres. La hasard est équivalente que le Premier mandataire Gabriel Attal et la mandataire de l’Enseignement responsable Sylvie Retailleau “se sont rendus au conseil d’administration”.

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Ceci quelque de “souligner la gravité des faits et la nécessité absolue que l’Université demeure un lieu d’enseignement” et de “débats sains et respectueux des valeurs de la République”, a confirmé la pilotage de l’C.E.G. pour un ordre pour la débat. Sciences Po Paris a aussi compris “le procureur de la République pour des faits à caractère antisémite, sur la base de l’article 40 du code de procédure pénale.”

Mélenchon réagit, les étudiants se défendent

Une hasard que suit de beaucoup proche Sylvie Retailleau qui a carré à nos confrères de BFM TV que “des lignes rouges ont clairement été franchies”, lorsque que le économat va craindre la code postérieurement cette incorporation et ses accusations. Les réactions se sont derrière multipliées. Le dirigeant de La France mutine, Jean-Luc Mélenchon, évoque sur X un “incident dérisoire”, s’merveilleux que l’bagarre prenne une équivalente “ampleur médiatique nationale”.

Sylvain Maillard, responsable des députés Renaissance, a lui mobilisé “la ministre (de l’Enseignement supérieur) à reprendre les choses en main”, pour la matin sur Radio J, alors que Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement Nationale, a demandé à la pilotage de “plier bagage”, sur CNews/Europe1.

De à eux côtés, les militants de l’Union Etudiante ont appuyé via la représentant du fédération que “personne n’a vu, entendu ou été témoin de propos antisémites”, alors que l’Union des étudiants judaïques de France a affirmé que des jeunes approprié à l’acoquinement y ont été “pris à partie comme juifs et sionistes.”