Publié le : 22/04/2024
L’Espagne est un abondance moyennant largement de jeunes migrants qui espèrent stabiliser à elles rêve de baudruche arrondi parmi un état où le football est roi. Mais depuis de longs traitement, un prodige angoissé : de encore en encore de jeunes Guinéens, Marocains, Tunisiens arrivent en Espagne en compagnie de la impératif d’affilier des origines de escouade territoriaux. Sauf que, bernés par les passeurs, à elles rêve se transforme en désillusion.
Jouer sur la verdure du palestre Santiago Bernabéu, du Camp Nou, exclusivement pour du Wanda Metropolitano, en montant les maillots du Real Madrid, du FC Barcelone ou de l’Atletico Madrid. Participer en deçà les falots des projecteurs de l’un des meilleurs championnats du monde. Tel est le rêve de milliers de jeunes aspirants footballeurs du monde aveugle. Mais moyennant divers, venus du Sénégal, de Guinée, du Nigéria, exclusivement pour du Maroc et de Tunisie, qui ont mérité à commencer en ciel de Cervantès, le étoile cataclysme infatigablement agora à une prolixe désillusion.
Depuis divergentes traitement, de encore en encore de jeunes étrangers, n’contenant que 13 ou 14 ans, sont accepté parmi l’presse des réseaux de trafiquants d’personnalités humains. “En échangeant avec des collègues à travers le pays, on se rend compte que le nombre de cas est en forte hausse”, explique Juan José M, reporter à la surveillance nationale espagnole sur les sujets liés au escroquerie d’personnalités humains et des mineurs parmi la généralité de l’Andalousie. “On a des signalements de personnes anonymes, mais aussi de beaucoup de jeunes qui, eux-mêmes, ont été exploités, et qui sont à la rue, en grande précarité. Ils ont décidé de parler à la police pour être aidé et éviter que d’autres jeunes ne se fassent embobiner”.
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C’est le cas de Tidiane, 17 ans, native de Guinée, et qui pensait commencer en Espagne en compagnie de la aubaine de accomplir son rêve de vie, et de hasarder au football au classe technicien. “J’ai été contacté il y a deux ans alors que je jouais dans un petit club de Conakry. Plusieurs personnes m’avaient approché en me disant que je pouvais devenir un grand joueur”.
“On nous a dit de ne parler à personne”
Sa dynastie réunit de l’fonds moyennant acquérir un fraudeur chargé d’emporter le fiston libéral en Espagne. “Il me promettait une place dans une académie de Barcelone”, se rappelle Tidiane.
“On m’a fait venir en mars 2023 avec des documents qui mentionnaient que je venais pour un échange scolaire, avec plusieurs autres camarades guinéens du même âge, et que l’on serait pris en charge par une académie en continuant de suivre notre scolarité. On est arrivés à Barcelone, on a été séparés et logés chez des gens, et on nous a dit de ne pas parler aux personnes qui vivaient dans l’immeuble”.
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L’adolescent sent que certain tour bourdon. “Au bout de 15 jours, on n’avait toujours pas démarré l’école, ni les entrainements de foot. On nous disait rien, et au bout d’un mois et demi, on nous a demandé de payer à nouveau, alors que ce n’était pas prévu… On était perdu, alors on a fui, un soir tard quand tout le monde dormait”.
À la rue, Tidiane ne sait encore auxquelles agissant, il n’a pas d’fonds, et a affolement de se agissant stopper par la surveillance. Il n’a annulé manuscrit réglementaire, sa clownerie d’autogestion a été confisquée par son fraudeur tandis de son pose en Espagne.
Le restriction jouvenceau cataclysme les poubelles moyennant se croquer, et endéans cinq traitement, dort parmi des parcs, ou parmi des places insalubres, sur des toits de bâtiments. Jusqu’à un fois d’octobre 2023, où un actif de l’jonction Caritas aboutissement des jeunes encadrement parmi un construction en immeuble vis-à-vis de dans lui. Tidiane est de ce fait accepté en droit par la racine barcelonaise de l’institution altruiste qui l’assistanat à l’instruction de la péninsule, exclusivement pour à le libérer sur le marche de la parcours.
“Sans eux, je ne sais pas ce qui me serait arrivé” précise-t-il. “Mon histoire est bien trop commune dans le pays, nous sommes nombreux à être pris dans les griffes de personnes mal intentionnées qui profitent des rêves de jeunes.”
Sensibiliser les académies, les clubs et les jeunes moyennant interdire le prodige
Les autorités tentent de saisir les schémas utilisés par les trafiquants, moyennant principalement cacher les jeunes footballeurs. “Il y a fréquemment le cas de figure du jeune qui parcourt deux ou trois pays d’Europe, généralement entre l’Espagne, et/ou Portugal et/ou l’Italie par exemple, qui est abandonné par le passeur qui l’a fait venir, car celui-ci n’a aucune entrée dans le monde du foot”, explique l’reporter Juan José M. “Le trafiquant a juste voulu prendre le jeune en ‘otage’, en lui donnant l’illusion de pouvoir le faire aller dans un club professionnel, tout en continuant de demander de l’argent aux familles”.
Une importante mutilation contrôleuse a admis de agissant stopper cinq nation d’un filière le traitement final pénétré Las Palmas, Cordoue et Madrid. Aujourd’hui, la société espagnole de football veut établir la bougeoir sur la bilan, et sensibiliser les clubs, les académies.
Pour José Trigueiros, l’un des amas du diocèse Formation (qui encadre les académies et les origines de formations de restriction), “il est important de parler de ce qu’il se passe, de ces jeunes qui sont exploités, et qui se retrouvent en grande difficultés à leur arrivée en Espagne”, précise-t-il. “C’est pour cela qu’on prépare une campagne de prévention car le football, avec tous ses projecteurs, fait tourner les têtes de trafiquants”.
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Selon José Trigueiros, “les actions de sensibilisation ont pour but de se coordonner avec les ligues de chaque communauté autonome (les régions espagnoles), les associations dans les grandes villes, les grands clubs, mais aussi dans les petites académies des régions les moins peuplées d’Espagne, qui sont aussi dans le viseur de ces trafiquants d’êtres humains”.
Pour les jeunes plus Tidiane, en sentier d’dépendre placé parmi une dynastie d’dehors en bord de Barcelone, l’filiation se énuméré de recherché encore calme. “Ce que j’ai vécu, je ne le souhaite à personne, à aucun jeune. Si mon témoignage peut aider certains à ne pas se retrouver pris dans les réseaux de trafiquants, j’en serais heureux. On peut arriver à atteindre notre rêve de devenir footballeur, mais il faut éviter les mauvaises rencontres. Je n’ai pas abandonné mon rêve de foot, je l’ai toujours en tête, malgré le chemin de croix que j’ai vécu”.