“Ça me semblait évident de signer dans ce club”, Gillian Galant apporte son observation à l’US Portézienne

l’édifiant
Gillian Galant, préhistorique ludique du Stade Toulousain critérium pile la durée prochaine à l’US Portet. Amis en compagnie de Frédéric Pauly, responsable du canne, les un couple de entités s’allieront pile les prochaines saisons.

Avec une aide chanteur égarement aux défenses opposant, l’préhistorique fortin étranger carnèle du période occitan Gillian Galan, reprend du largesse pendant lequel le monde de l’ovalie. Contraint de appuyer un issue à sa enceinte promptement contrecoup à une trouble épars – le syndrome de l’galerie poplitée piégée – Gillian, c’est reconverti en aussi qu’gérer. C’est le canne de l’US Portézienne et son responsable Frédéric Pauly qui l’a admis à aide ouverts, pile la durée prochaine.

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L’US Portet pourra alimenter des gémissement

Vous avez éprouvé une fin de enceinte dans d’une trouble épars ?

“J’étais obligé de me faire opérer pour continuer le rugby. L’opération s’est mal déroulée, étant donné que j’étais le premier joueur pro à me faire opérer de ça. Normalement, ce sont des cyclistes qui se font opérer de cette maladie. Il n’y a pas d’explications à cette problématique. Je ne l’avais que d’un côté, le gauche. La masse musculaire au niveau de mes mollets était trop importante, ce qui a compliqué l’opération”.

Quelles ont été vos décisions à la contrecoup de cette interférence qui a mis un issue à votre enceinte ?

“Je savais que le rugby n’était pas éternel, même si ça m’a fait bizarre d’arrêter brusquement. J’ai ouvert un restaurant aux halles de la Cartoucherie avec Sofiane Guitoune. Je suis en train d’en monter un autre sous forme de guinguette. J’ai monté une marque de boissons naturelles, qui a bien fonctionné”.

Pourquoi avez-vous signé à l’US Portet ?

“Je suis très ami avec Frédéric le président du club, c’est ce qui m’a poussé à venir au club. On en a discuté ensemble et j’ai accepté. J’étais déjà venu faire une intervention au club pour la touche et ça m’avait plu. Ça, c’était super bien passé les joueurs étaient content, il n’y a eu que du positif qui en est ressorti. Le hasard a fait qu’on a mangé ensemble avec Frédéric, on en a reparlé, et je lui ai dit pourquoi pas venir entraîner l’équipe senior”.

Est-ce qu’il y a une solide inégalité imprégné gérer et ludique ?

“J’ai fait une saison ou j’étais consultant pour les avants à Caussade. Entraîneur, tu t’occupes d’une saison entière, ou tu vas devoir gérer les joueurs, les enchaînements d’entraînements. Il faut savoir innover entre chaque entraînement. Je trouve que c’est beaucoup plus prenant entraîneur que joueur. C’est plus facile quand on est joueur, il suffit juste de s’entraîner et de jouer les matches, tandis qu’en tant qu’entraîneur, j’ai énormément de responsabilité. C’est plus chronophage d’être entraîneur que joueur”.

Quels sont vos impartiaux pile la durée qui arrive ?

“Dans deux ans, ce sont les cent ans du club et l’objectif premier est de monter en catégorie. J’aimerais que le club soit autre part que là où on est. C’est un club qui a une histoire et ça me tient à cœur de faire les choses bien”.