“Bardella est un influenceur, un youtubeur” : ardeur du RN, jeux politiques, les paroles d’étudiants biterrois concernés

Au avenir des élections européennes et à la insomnie des législatives, des étudiants biterrois livrent à eux conclusion de vue sur le milieu existant. Impliqués, ils confient à eux alarme comme l’ultérieur. Témoignages.

Dans le approche du Polygone de Béziers, Maël, Matteo et Marie, 16 ans, discutent sur un banquise, ils n’ont pas l’âge de décider seulement se sentent mais déjà impliqués : ” Il faut aller voter, nos anciens se sont battus pour avoir ce droit et c’est important pour la représentativité. Quand on n’est pas d’accord avec un parti, faut voter contre, c’est mieux. Nous ne connaissons pas les programmes mais nous avons peur du RN qui nous rappelle les heures sombres de notre histoire“, confient-ils. Un peu puis ailleurs, paire copines Ibtissam et Nour, 16 ans, Françaises d’formation marocaine sont autant inquiètes : “Jordan Bardella est charismatique mais on sent qu’il n’est pas sincère. On a l’impression que les votes sont truqués, on ne comprend pas ce choix, ça manque de transparence“.

Devant l’IUT de Béziers, Laëtitia et Rocking-chair, 21 et 22 ans, en 3e cycle Bachelor professeur technologique (BUT) part du multimédia et de l’internet (MMI) n’ont pas pu diriger décider aux européennes. “On n’a pas peur de donner notre opinion car on a un bon groupe à la fac et ça nous arrive même d’en parler avec les professeurs en dehors des classes“, confient-elles. ” On essaye de motiver nos camarades d’aller voter, on vote davantage pour contrer un parti que pour ses idées politiques. C’est un vote barrage”. Rocking-chair s’épouvanté : “Dans les deux camps on trouve des idées intéressantes, mais l’extrême droite ça me fait peur car mes parents sont immigrés.”

“Plus la société va mal, plus les extrêmes montent”

S’informant en périphérie du isolement domestique, elles-mêmes confient ne pas existence influencées. “On mène des recherches sur les programmes politiques, qui sont difficiles à trouver et compliqués à lire. Peu de nos camarades font de même. Notre génération d’électeurs se base davantage sur le charisme du candidat et sur les réseaux sociaux que sur les idées politiques des partis. Nos amis parlent de politique pour blaguer en réaction aux actualités, plus que pour vraiment débattre. Plus la société va mal plus les extrêmes montent“, se désolent-elles. Et d’augmenter : “Nos soucis de jeunes étudiants sont peu abordés comme la difficulté de trouver des apprentissages. En France, on est davantage poussé à rester chez soi à toucher des allocations que soutenu pour trouver du travail“.

“Si tout le monde s’y met, on peut changer les choses”

Sur son période, entrée l’IUT de Béziers, Lydie, 23 ans, d’formation guadeloupéenne, future professeure, se désole : “Les gens parlent de l’extrême droite de manière décomplexée, on entend des propos sur les plateaux TV qui étaient inimaginables avant. J’entends beaucoup de gens dirent que la politique les ennuie. La France perd ses valeurs chrétiennes qui donnaient un vrai cadre de vie“.

Promenant son hargneux, Lorie, 19 ans, est en expérience au Purple Campus de Béziers : “Je n’ai pas voté aux européennes mais j’irai aux législatives, si tout le monde s’y met, on peut changer les choses. Je me renseigne sur les programmes politiques sur internet. Les candidats qui font des vidéos courtes pour leur propagande sont suivis, ils savent que c’est vendeur, ça touche à la psychologie humaine“.

“Il est jeune, il est beau, il fait propre sur lui”

Son coiffure en pogne, Stéphane, 19 ans, élémentaire de La Rattachement se sent fermement concerné par la données. “Les plus âgés sont blasés mais notre jeune génération est davantage investie”. Il n’a mais pas pu diriger décider, pour de son déménagement. De nos jours, s’intéresser à la politique est un loisir que tout le monde ne peut pas se permettre. On est trop sollicité par nos études depuis la plus tendre enfance ça nous empêche de penser à autre chose“, réalise-t-il. Concernant la avènement du RN, il conférence : “Les jeunes hommes se reconnaissent dans Jordan Bardella, il est jeune, il est beau, il fait propre sur lui et donne l’impression qu’il va changer leur quotidien. Les jeunes femmes sont davantage intéressées par la cause israélo-palestinienne et la guerre en Ukraine.” Pour lui, les personnes oublient la prolixe Histoire et ne font pas de affecte imprégné le RN de Bardella et le FN de Jean-Marie Le Pen : “Bardella est un influenceur, un youtubeur, il fait des vidéos TikTok et plaît aux fans de jeux vidéo“. Il comprend pourtant le cooptation sentinelle : “Tout va trop vite dans cette société, ultra-technologique et parfois trop ouverte sexuellement (LGBT QR +), les gens veulent revenir aux valeurs fondamentales. Les partis de gauche comme de droite ne veulent rien construire alors les gens tentent autre chose… les extrêmes en espérant un résultat. Les jeunes ne veulent plus des guerres d’opinion, des guerres d’ego. Ils veulent que la France bouge“.