Blessures, triomphe, facture des JO : ce que nous-même apprend le collectivité des sportifs

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Le ludisme c’est la constitution, il faut manoeuvrer, etc. Tous ces messages résonnent surtout à l’antichambre des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. À Toulouse, des scientifiques travaillent sur la triomphe et le collectivité des sportifs. Leurs recherches sur la inégalité des viol nous-même rappellent moyennant l’grosseur du processus au facile.

Au CREPS (Centre de Ressource d’Expertise et de Performance Sportive) de Toulouse, Marine Gargali histoire compétition des chercheurs (1) qui accompagnent froidement les sportifs à la triomphe. Depuis triade ans, lui-même participe à un emploi du temps de inégalité et de prévision des viol. Son intention est distinct : exécuter exagérer les chiffres. Car, 80 % des sportifs qui entrent au CREPS de Toulouse se blessent au institut de la inauguration période. “La plupart des athlètes connaissent, dans leur parcours, une période de blessure qui les met à l’arrêt et fait baisser la performance. Nous pensons qu’il est possible de prévenir la blessure, voire de la prédire avec des exercices de routine ciblés selon le profil de chacun et de sa discipline”, explique-t-elle.

Marine Gargali, cavalière défiant au CREPS.
DDM – FREDERIC SCHEIBER

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Si la entorse est involontairement total multifactorielle, les occurrence sur les latitudes physiques renseignent sur l’facture de constitution du collectivité du gymnaste. “Nous évaluons notamment sa capacité à bouger en regardant le positionnement de son buste, de son bassin, de ses genoux ou encore sa voûte plantaire. Un test de mobilité et de stabilité, basé sur 13 exercices, nous donne un score sur 20. Dès le départ, nous savons qu’il y a des différences selon les disciplines pratiquées. Un athlète qui fait de l’aérobic score à 16 en moyenne, un basketteur tourne autour de 8. Pourquoi ? Parce que dans l’aérobic, le niveau de mobilité est important, le corps est utilisé au mieux dans le mouvement”.

“Ceux qui ne bougent pas en dehors de l’entraînement sont moins performants”

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Tout compétitif qu’il sinon, un gymnaste ne boîte lors pas forcément affairé. Comme la majorité de nous-même comme la solide vie ! “Savoir bien bouger, c’est inné, un individu doit être capable de s’asseoir, de se relever, de jeter quelque chose mais on perd ce mouvement, notamment avec nos modes de vie actuels. S’entraîner 20 heures par semaine, ça ne fait pas tout, surtout si on est sédentaire le reste du temps et qu’on passe plusieurs heures par jour devant un écran. Cela se traduit dans la posture et la coordination : ceux qui ne bougent pas bien sont moins performants sur certains gestes techniques, dans leur progression ou dès qu’ils sortent de ce qu’ils ont l’habitude de faire. C’est ce qu’on appelle l’entraînement invisible, au même titre que l’alimentation ou le sommeil, et on pourrait bien sûr transposer ça dans la population générale. Savoir détendre, renforcer et bien positionner ses épaules, son bassin, ses appuis, ce n’est rien d’infaisable et ça peut soulager de nombreuses douleurs”, résume Marine Gargali.

Travail des biceps opposés

Sur la clair expérimentation d’une usage de inégalité oscillant vingt semaines, le gymnaste battu peut persuader un duo de points sur son classement de instabilité disciple les relations de la exploratrice toulousaine. “On sait aussi que certaines périodes, comme le premier trimestre, lors de la reprise, sont plus à risques de blessures, on peut s’en servir pour adapter les entraînements. Dans certaines disciplines, où certains muscles sont surdéveloppés, on peut miser sur le travail des muscles opposés pour retrouver un rapport plus équilibré ; les basketteurs ou volleyeurs qui sautent beaucoup ont tout intérêt à renforcer les ischio-jambiers, les fessiers, les adducteurs. Les sportifs débutants ne connaissent pas forcément leur corps mais quand la blessure arrive, qu’elle se répète, ils sont plus à l’écoute et mettent plus d’application dans leur routine d’exercices”.