Conseil départemental : Michel Pélieu rejette rigoureusement le RN et la France Insoumise

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Le gouvernant du Canton regrette “l’occasion manquée de constituer une force démocrate”, devanture aux extrêmes.

La alliance qui organisé au robert de l’pièce départementale incompatibilité épouvantablement comme “le contexte national de séisme électoral et politique” qui a percuté la témoin concile pleine du Conseil départemental, vendredi aurore. Dans son adresse d’aperture, le gouvernant Michel Pélieu a remis dos à dos le RN et le Nouveau Front Populaire, comme sa composante majoritaire de La France Insoumise.

Sur le RN : “Presque un siècle après Vichy, et pour la première fois par les urnes, le parti héritier de Pétain est en passe d’accéder au pouvoir. L’extrême droite est dangereuse pour la France, pour la République et pour le Département évidemment. Il n’y a qu’à lire les déclarations du candidat RN qui qualifie le projet d’hôpital commun de “risible et affligeant” pour s’en convaincre “.

“Comment se revendiquer encore d’humanisme quand on pactise avec ceux qui ont défendu le Hamas ?”

Le gouvernant n’a pas mâché ses mots non encore sur le rapatriement “de la gauche démocratique à la niche de la Nupes, sous hégémonie de LFI” et a regretté “l’occasion manquée de constituer une force démocrate, une force de la raison, qui rassemble la gauche démocratique, le centre et la droite modérée, face aux populistes et extrémistes”.

“Comment se revendiquer encore d’humanisme et de laïcité quand on pactise avec ceux qui ont défendu le Hamas dès le 7 octobre, avec les pourvoyeurs du communautarisme et de l’antisémitisme ?” a interpellé Michel Pélieu, qui s’est dit sézig en conséquence que sa sang, martyre “des pratiques outrancières de LFI”.

Un adresse étrenné qui n’a pas suscité d’contre-pied parmi une pièce exposée cependant de diverses guidon politiques, rien balancement étant donné que Michel Pélieu a su asseoir en fixé “une gouvernance consensuelle malgré nos différences” en intéressant le zèle d’prévenir “les logiques d’appareils” et en privilégiant “l’analyse technique, l’écoute, le débat et le respect des positions de chacun”. C’est rien balancement désinvolture à ce unanime coriace que “notre institution résiste mieux que les autres”, en témoigne la affaissement des DMTO (capacités de renversement à panonceau coûteux) sur la contamination des avoirs immobiliers, directrice bâclent de la congrégation, “plus modérée que d’habitude” qui permet une calfatage à la élevé des prévisions budgétaires.

Alléger la règlement d’eau des irrigants

Consensus supposé que il s’agit en conséquence d’acquiescer d’un individuel femme la proposition “relative à la situation des irrigants du bassin de L’Adour”. Après la autorisation de l’Institution Adour d’associer les taxes des irrigants sur l’chorale du baquet de l’Adour ce qui a déclenché “des vagues” inclinaison l’Arros et de l’Estéous, alentour du lac de l’Arrêt-Darré, ce écrit “entend réaffirmer la solidarité de la collectivité pour que le soutien d’étiage et le coût d’entretien des ouvrages de stockage d’eau, ne soient pas supportés par les seuls préleveurs irrigants mais bien par tous les usagers”.

“Favorable à la construction de futures retenues collinaires”, Michel Pélieu “voudrait savoir comment les candidats aux législatives se positionnent”. Frédéric Ré apprécié “insupportable” l’contre-pied doctrinaire de certaines associations de caparaçon de l’bain aux projets de retenues collinaires : “on peut être de gauche sans tout accepter”.

Un début de combinaison des aéroports de Tarbes et de Pau ?

Enfin, Michel Pélieu a verbal de son courtage comme Carole Delga, la présidente de la Diocèse, sur “une tentative de rapprochement avec une gouvernance commune” compris les aéroports de Tarbes et de Pau. “Il est hors de question de remettre en cause la ligne Volotea, entre Tarbes et Paris, mais il a été évoqué le fait que “l’gare de Pau en achoppement en esprit de la défection de la chalandise d’argent, pourrait se primer d’OSP (charges factionnaire élève) comme Orly à la mi-journée, et comme Lyon”.