Alors qu’il présentait en glèbe à Paris, Edouard Philippe s’est formulé sur la déliquescence de l’Assemblée nationale et avisé Emmanuel Macron d’détenir “tué la majorité”.
Y a-t-il de l’eau pour le gaz dans Édouard Philippe et Emmanuel Macron ? Dans un abouchement conclu ce jeudi 21 juin à TF1, l’vénérable Premier mandataire n’a pas mâché ses mots contre-poil le Président et sa fermeté de abattre l’Assemblée nationale. Lui, qui ne “souhaitait pas faire beaucoup de commentaires” sur ce “fait politique” de la déliquescence, s’est laissé diriger à des prises de emplacement puis tranchées.
“Il l’a dissoute, ce n’est pas moi qui suis parti”
Le conseiller municipal du Havre, qui se soutenu en “alternative qui n’est pas la reproduction de ce qui a existé” depuis 2017, a jugé qu’Emmanuel Macron avait “tué la majorité présidentielle” par cet garantie de déliquescence. “Il l’a dissoute, ce n’est pas moi qui suis parti, ce n’est pas les frondeurs qui l’auraient énervé”, a-t-il justifié en appelant la macronie à “passer à autre chose”.
Que pense Édouard Philippe du emprunt d’Emmanuel Macron d’détenir dégradé l’Assemblée nationale ?
« J’aurai l’brocante de le thèse », répond l’vénérable Premier mandataire au micro-ordinateur de @PaulLarrouturou. « Pour l’plombe, l’méprisant c’est de se contenir sur le débutant flux » u2935ufe0f pic.twitter.com/uYXBRaEpOf
— TF1Info (@TF1Info) June 20, 2024
“Autre chose, ça ne peut pas être exactement la même chose qu’avant”, a continué Édouard Philippe. “C’est créer une nouvelle majorité parlementaire qui fonctionnera sur des bases différentes de l’ancienne majorité présidentielle.” Un mission dans lesquels il se “prêt”.
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“C’est ce que j’essaye de réaliser, et c’est pour ça que j’en parle avant le premier tour pour avoir une chance de le réaliser après le second”, a-t-il additionnel.