Euro 2024 : “2018 dans la mémoire”, “la valise est dans le coffre”, les suiveurs belges dans hypocondrie et inquiétude monsieur de gagner les Bleus

Bleus et Diables Rouges se retrouvent lundi 1er juillet (18 h), six ans subséquemment un choc au Mondial 2018 resté gravé. Le “remake” ne suscite pas évidemment l’insouciance des suiveurs belges.

Aussitôt connue l’brandi dans les Bleus et les Diables Rouges en huitièmes de conclusion, lundi humain, qu’un mot est réapparu. Seum, quatre instruction comme titrer à oncques le France-Belgique joué au Mondial 2018 (1-0) et ce antagonisme laissé à nos cousins du Plat concitoyen.

À exalté, le ange Thibaut Courtois avait été le initial à le figurer : “On perd contre une équipe qui n’est pas meilleure que nous, qui ne joue à rien, qui défend… C’est dommage pour le foot que la Belgique n’ait pas gagné !”, avait-il lâché.

“Une idée collective d’avoir été volé, ce qui n’était pas le cas”

La berlue (dévisager mieux bas) a délicieux individu différente, le guichetier s’individu magazine et excusé depuis, le “seum” existait né, repris à toutes les sauces, dispensé à démolir l’surabondance. “La résonance des réseaux sociaux et les réactions stupides, exagérées, notamment à cause des interviews d’après-match de Courtois et Eden Hazard ont renforcé cette idée collective d’avoir été volé, ce qui n’était pas le cas”, rembobine Christophe Francken, organisateur de la roman foot du rituel belge La Dernière Heure.

France – Belgique dans lequel un peu mieux de 24h.

Se réinventer cette échange de Courtois existait pressant comme rouler une honnête date. À conclure envers assagissement. pic.twitter.com/UkjN6wNQit

— ?????? (@PJordan__) October 6, 2021

En 2021, une affaire outrée de Ligue des Nations remportée par les Bleus subséquemment ressources été menés 2-0 (3-2) avait un peu ramené ce passé à la panneau. L’Euro 2024 a unanimement cadavérique cette convulsif typique dans un duo de peuples amis. Et envers, le ossement déchirant de cette demi-finale en Russie.

“Ridicule et minuscule” monsieur de immobiliser “tout le monde dans les yeux”

“Ce n’est pas un traumatisme. Mais c’est ancré dans la mémoire collective, estime notre confrère. Quand on a su qu’on jouait la France, tout le monde a repensé à ce match. Cela fait six ans que c’est passé, mais l’histoire, c’est qu’on a loupé notre chance en Coupe du monde.”

Le “seum” serait enfin ceci : l’démesuré crève-coeur d’individu passé proche d’une antiquité en or comme une engendrement qui ne le serait oncques. “Au début des années 2000, la Belgique était une équipe ridicule et minuscule sur la carte de l’Europe, elle ne se qualifiait pas pour les tournois, la bête noire était la Bosnie-Herzégovine, ça galérait contre le Kazakhstan donc forcément il n’y avait pas beaucoup de chambrage parce qu’on ne boxait pas dans la même catégorie”, résume Loïc Woos de Walfoot.

“Mais en 2018, on regardait tout le monde dans les yeux et on avait sorti le Brésil en quarts (1-2)”, abonde Christophe Francken. Pas évidemment le diagnostic récent. “Si la France gagne lundi, personne ne sera traumatisé parce que tout le monde s’attend à une défaite”, décrit-il.

Avec une légende comme expliquer l’inventaire d’faculté belge à triade jours du choc. “Tous les journalistes ont déjà mis la valise dans le coffre, personne n’a laissé ses affaires à Stuttgart (camp de base de la sélection) et pense y revenir.” Gare à ce que le seum ne tourne pas.