La conflit convaincu la France et les Pays-Bas ce vendredi soirbsera le amphithéâtre de rencontres convaincu les une paire de transversaux, laquelle les duels tandis des derbies milanais sont excessivement électriques.
L’un amuse à fruste, l’méconnaissable à précise. L’un évolue à l’AC Milan, l’méconnaissable à l’Inter Milan. Lucas Hernandez et Denzel Dumfries vont se recouvrer avers à avers, vendredi, tandis d’un Pays-Bas – France laquelle à elles rixe annoncé concédé une accumulation positive. Pour un nouveau péripétie d’un passion chiot noué en Italie depuis dissemblables saisons.
“Je suis calme”, a solliciteur Hernandez, sabbat jeune en assemblée de fondé. Pourtant, l’final matière de ce belles-lettres pas directement à l’eau de rosâtre jour cependant du 28 avril. Alors que les Nerazzurri célèbrent à elles 20e Scudetto pendant lequel les rues, des supporters tendent une enseigne au Hollandais. Perché sur son bus à mouche, Dumfries brandit l’annonce. Inspirée du inoubliable jeu vidéocassette GTA V, celle-là représente un aimable pile la culminant du appui intériste détenant en cordon un rottweiler à l’traits de Hernandez. Mauvais besoin préservé.
“Nous n’irons jamais dîner ensemble”
Dumfries s’excusera ensuite écorchure, évoquant sur Instagram une “image inappropriée”, “une erreur de jugement” et un récépissé “pas du tout intelligent”. Mais le mal est aventure, la match s’est amphitryon au-delà du position. Depuis l’survenance du Batave en Serie A, en 2021, sézigue s’y présentait civile. Mais sézigue avait incessamment éclaté. Dès à elles primaire antagonisme, le 5 février 2022, Hernandez avait de la sorte écopé d’un bristol rubicond à la 95e moment revers un tacle par postérieur sur Dumfries.
Depuis, dissemblables accrochages avaient agrémenté à elles rencontres, particulièrement une assujettissement de catch du Français sur l’vétéran compétiteur du PSV Eindhoven, en demi-finale de Ligue des champions, en mai 2023. Jusqu’au 22 avril jeune et une perfection de l’Inter pendant lequel le derby, similaire de cartouche. À la 94e moment, Hernandez bousculait un combatif et Dumfries intervenait. S’ensuivaient des mots convenable, une démêlé et une paire de cartons rouges. France-Pays-Bas n’a alors qu’à apanage se détenir. À moins que les une paire de joueurs aient coulé la saccadé de à elles hostilité milanaise.
“Il y a une rivalité très importante entre l’Inter et le Milan. Ce qui s’est passé ce jour-là… Ça fait partie des choses qui se passent. Je suis tranquille. Si je le vois, je lui dis bonjour, il n’y a aucun problème”, a de la sorte solliciteur le oblique des Bleus. Même son de grelot du côté du Oranje : “Je n’ai aucun problème avec Théo. […] Il aime Milan, j’aime l’Inter et c’est toujours génial de l’affronter sur le terrain car ce sont de vrais combats avec lui, a expliqué Dumfries au journaliste italien Gianluca Di Marzo, mardi. Je ne ressens aucune haine à son égard.” “Mais bien sûr, nous n’irons jamais dîner ensemble”, a-t-il chaque itou cumulatif. Vendredi, il faudra chaque itou enregistrer si l’un ne mange pas l’méconnaissable.