“Je ne peux pas imaginer que l’extrême droite gouverne la France” : beaucoup émue Carole Delga addenda en coutume affrontement derrière les législatives

Très emphatique tantôt, Carole Delga plaide derrière un Front répandu lesquels le développement démocrate s’inspire des propositions de Raphaël Glucksmann débarrassé à réserver des circonscriptions aux Insoumis.

Elle a effectué par naître bonnement beaucoup emphatique, au accotement des pleurs lorsqu’sézigue imagine que le 7 juillet au réunion, les dirigeants du Rassemblement territorial aux commandes du race. Carole Delga a actif tenté de se décider de l’antagonique exclusivement l’peur a effectué par la immerger avec qu’sézigue répondait aux questions des journalistes parmi son chancellerie de l’hôtellerie de préfecture de Toulouse ce mercredi 12 juin : “Je ne peux pas l’imaginer, lâche-t-elle dans un sanglot. Je ne peux pas accepter que l’idéologie gouvernante de mon pays, celui des Lumières, de la déclaration des Droits de l’Homme, soit raciste et xénophobe. C’est abject et contraire à l’histoire de la France. Au moment où on commémore la Libération je ne peux pas me résoudre que l’on célèbre la peste brune”.

“La ligne mélenchoniste ne peut pas être majoritaire”

Les mots sont forts. Durs, même. Peut-être pas clairement maîtrisés tellement sézigue est bouleversée. Qu’importe. Elle pense bonnement au “déclassement du pays si le RN le gouverne”. Puis la présidente de la Pays Occitanie se reprend et redevient la combattante, “la passionaria de la République comme disent les journalistes parisiens”. Celle qui a décidé, à son association défendant, de rattacher un Front répandu “sans suivre, ni la ligne macroniste, ni la ligne mélenchoniste”, répète-t-elle. Deux voies qui ont guidé “le pays à l’impasse. De cela, elle ne déroge pas. Oui à l’union de la gauche, Insoumis compris, mais il faudra appliquer un programme “beaucoup libéralement révélé de icelui de Raphaël Glucksmann qui est commencé en grand dimanche réunion… La bord mélenchoniste ne peut pas entité majoritaire”.

Ce développement, “c’est redonner confiance aux Français, concilier social et écologie sans aucun repli communautaire”. Le plaidoirie est à l’assiduité des Insoumis. Si Carole Delga est imputé à conduire des concessions sur la hiérarchisation des circonscriptions, qu’sézigue refuse d’venir attendu ces pierre chez n’réalisant pas à la colline “de la gravité de la situation”, sézigue ne transigera pas sur le cœur du développement : “Aujourd’hui on ne peut pas manquer de lucidité sur la situation politique de la France pour amener les bonnes réponses”.

Prête au affrontement

Le développement, ce sont les commandements des nécessaires partis qui l’élaborent : sézigue suit les tractations étroitement, en attache chéri derrière les socialistes Boris Vallaud et Aurore Lalucq et le communiste Fabien Roussel, derrière qui “on a posé les grands principes”. “On veut un programme ferme sur la sécurité et sur la laïcité notamment sur le refus du port des signes religieux à l’école. À l’international, on veut un total soutien au peuple ukrainien, la reconnaissance d’un État palestinien, d’une solution à deux états et la libération des otages détenus par le Hamas… Mais aussi un front républicain sans limite”. C’est-à-dire qu’en cas du téméraire d’désignation “d’un candidat d’extrême droite, on vote pour le candidat opposé quel qu’il soit, République en marche, de droite ou Insoumis”. C’est itou rationnel que ceci. À cela rapproché que Carole Delga souligne que la bête a déjà appliqué ce postulat depuis beaucoup exclusivement pas LFI. En personnel en Occitanie, alors des dernières élections législatives… Las, cette jour sézigue s’épinglé à d’hétérogènes hommes qui trouvent amnistie à ses mirettes : Raquel Garrido, Alexis Corbières ou François Ruffin… “Je n’ai ni haine, ni problème de positions avec les personnes. J’ai une opposition, un désaccord majeur avec les idées d’extrême droite. C’est tout”. La avis de Kamel Chibli, son vice-président à la Pays, beaucoup aigre à ce Front répandu ? “Il a juste rappelé qu’il ne fallait aucune hégémonie. Que LFI devait savoir rester à sa place”.

Quant à imaginer quelqu’un derrière amener la croisade, quelqu’un qui pourrait entité un bon Premier consul derrière la France : “Raphaël Glucksmann a proposé Laurent Berger, c’est une bonne idée”, dit-elle. Sur le accident que son nom passe, sézigue balaye l’exemple parmi un gondoler : “Je savais que la question arriverait. Mais non, je n’ai aucune ambition personnelle”. Puis surtout sérieuse : “Je suis meurtrie de ce qui arrive à la France”. Mais sézigue se dit cependant ensemble “optimiste” parmi la patience de cette alliage fatigué et assure qu’sézigue ne cédera zéro “sans combattre”…