Dans la 2e sandjak du Tarn-et-Garonne, distinction par le Rassemblement territorial depuis 2022, Anne Ius, la candidate investie par le PRG, et son adjoint Michel Weill, dirigeant du discours départemental à la épais apprentissage d’élu habitation, incarnent le choix sérieux à bâbord… et la particulière prérogative de conduire retenue aux extrêmes. Nous avons incessant les candidats ce jeudi 20 juin sur le marché de Castelsarrasin.
Une machine à contre-pied sur l’autostrade des Deux-Mers qui bloque l’entrée au péage de Bressols, un jeudi de marché noyé par l’risée à Castelsarrasin : il en faudrait mieux comme éloigner Michel Weill de couvrir, plus prévision, la garniture laquelle il n’a en aucun cas piraté depuis qu’il a apparu sa vie gouvernant au robert de la maison des Radicaux de bâbord. Ce 20 juin 2024, le dirigeant du discours départemental de Tarn-et-Garonne retrouve à Castelsarrasin Anne Ius, la candidate investie par le PRG comme les élections législatives des 30 juin et 7 juillet.
Les tracts tendus aux commerçants et clients du marché seront trempés, purement l’organisant est éloigné. Michel Weill, adjoint d’Anne Ius, l’exprime carrément : “Face à la gravité de la situation, il faut faire barrage aux extrêmes qui n’apportent que le chaos et la division. Je suis convaincu qu’Anne est la députée qu’il faut à cette circonscription. Je peux en juger au Département, c’est une élue travailleuse et compétente qui s’implique fortement dans les dossiers. Elle comme moi sommes des élus du territoire, ancrés dans la réalité, qui se battent au quotidien pour le Tarn-et-Garonne et pour mettre en œuvre des politiques qui améliorent la vie des gens.”
Expérience et sobriété
Quatre ans ensuite bien remporté les élections départementales et pris à la bâbord de réintégrer aux business, le Montbetonnais engage aussi ce “combat inattendu qui va devoir se livrer dans la rapidité”. Dans ce environnement d’élections anticipées et de chamboule-tout gouvernant, l’apprentissage et la sobriété de Michel Weill sont des atouts maniéré, ajoutés au bénévolat et à la analogie d’Anne Ius.
Le PRG n’est pas ma maison gouvernant de cœur, involontairement ce clique gère plus le PS le discours départemental et dispose d’un trame d’élus locaux. Cette consistante attache les rend permis comme créer un endroit démocrate.
Le honorable de cette postulation n’a pas déguerpi aux militants de bâbord qui, jusqu’au Parti communiste, s’interrogent sur la détermination des directions du inaccoutumé Front paysan d’encercler une militante de LFI tierce comme sa obtenue grossière de Cazes-Mondenard. C’est le cas de Julien Gettliffe, un Moissagais “engagé à gauche et membre du tissu associatif local”. Lui pardon d’discordantes, “avec des camarades unitaires du PS et du PC” ont œuvré comme “une candidature Nouveau Front populaire plurielle et représentative de notre territoire. S’il considère qu’ “au phase territorial, le Front paysan est une heureuse tour”, Julien Gettliffe confie, sur un ton dépité : “Dans le Tarn-et-Garonne, on a été sacrifiés plus cette postulation passionné de LFI qui constitue une réelle appareil à détourner faciès au malheur de l’exorbitant ouverte.”
Dès lorsque, pas la assistant délai comme cet maître : “Dans la 2e circonscription, il faut voter pour les candidats de gauche les mieux placés pour faire barrage à ce duo abject formé par le RN et Les Républicains de Ciotti. Le PRG n’est pas ma famille politique de cœur, cependant ce parti gère avec le PS le conseil départemental et dispose d’un maillage d’élus locaux. Cette forte implantation les rend légitimes pour constituer un front républicain. Vaincre le RN est la priorité absolue. Anne Ius et Michel Weill représentent notre meilleure chance. “
Au fil de la séminaire, enjouée face le fourgon du “Poulet bessinois” où le embaucheur arbore les guidon du Stade occitan, les candidats du PRG montent la rue de la Mutation. La affusion est si tendu qu’il faut s’réfugier en dessous les parasols des vendeurs… et face l’antichambre du habitation de la fragment du PCF où la éternelle profil de Maximilien Reynès-Dupleix ne suite pas à naître, face une éternelle tableau de Fabien Roussel. “Si on avait été plus nombreux à la fédération départementale à suivre la ligne de Fabien Roussel, on aurait pu espérer autre chose pour l’investiture du nouveau Front populaire.”
“Le vote utile à gauche, c’est le nôtre. On sait que le 1er tour sera décisif alors, d’ici le 30 juin, on va mettre toute notre énergie à rassembler”, promet Anne Ius.