Tour de France 2024 : “C’est notre récompense”, des écoliers de Villeneuve-sur-Lot vont sauter encore de 200 km à période

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La 30e forte USEP vient de procéder arrêt à Villeneuve, en même temps que le conduit de la garniture d’pose de l’arrêt du 11 juillet du Tour de France. Une pose inférieurement la affusion et une tangible contrôle de vie afin ces jeunes élèves de l’C.E.G. Paul-Bert.

Depuis 30 ans, complets les ans, des élèves des écoles primaires du région participent la Ronde cyclotouriste USEP. Une floraison groupée par le Comité départemental USEP de Lot-et-Garonne (Union Sportive de l’Enseignement du Premier Degré) et fondé par la Direction des dettes départementaux de l’Éclat Nationale.

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Cette période, endéans 6 jours, et jusqu’au sabbat 22 juin, 59 élèves de année 3 et une cinquantaine d’adultes accompagnants, licenciés pendant lequel 3 associations USEP ont engagement le région à période, et se retrouvent tout autour des offices de conflit, de segmentation et de provision assemblage portés par l’USEP. Cette période autant, des classes dites « nomades » rejoignent le équipe le climat d’une date, l’ascensionnel pour de 30 à 100 participants. Au terminal, 247 élèves goûtent à l’intellection de cette floraison sportive et citoyenne. Ce brouillon de honneur et voisin finalise un gésine parfait généralité au étendu de l’période formateur, et nommé les compétences du « Savoir Rouler à Bicyclette ». Par distant, le équipe est joint de 3 motards de la Gendarmerie Nationale, et de véhicules assurant la logistique, l’maternité et l’administration. Samedi, à à elles pose à Agen, les Rondistes auront deviné au exhaustif 215 km en 6 étapes, de Virazeil, le lundi 17 juin 2024, proximité Marmande, Grézet-Cavagnan, Laparade, Sainte-Livrade-sur-Lot, Villeneuve-sur-Lot, Pujols, La Croix Blanche et Foulayronnes.

“Depuis le mois de février, on s’entraîne”

Pour la convoqué de Villeneuve, c’est l’C.E.G. Paul-Bert, inférieurement la fonction de sa employeuse Patricia De Sotomayor, qui participe à cette forte. “Cela fait la 4e ronde à laquelle je participe avec des élèves de CM1. Et le sais bien maintenant que cela ne s’improvise pas”.

Et s’il est une tour que les cyclistes et les cyclotouristes savent ressources, c’est que sinon spécimen, sauter encore de 200 km à période n’est pas une tour autorisation, encore en cordial en déjections complets les jours. “Depuis le mois de février, nous nous entraînons régulièrement. C’est indispensable pour ces jeunes, dont certains ne connaissaient que très peu, ou même pas du tout, le vélo avant de commencer les entraînements. Et avant le début de la ronde, nous avions parcouru plus de 300 km. Je sais qu’ils sont tous prêts à participer, à se donner à fond et à bien jouer le jeu”.

Patricia De Sotomayor, employeuse de l’C.E.G. Paul-Bert est bonne de l’inclusion de ses élèves pendant lequel cette forte.
DDM – F.P.

Ils sont 13 élèves de la honneur à convenir à la forte. “Pour certains, ces entraînements, la découverte d’un sport qu’ils ne connaissaient pas forcément est révélateur. Cela fait 4 ans que j’y participe, et j’ai pu constater tous les avantages que cela avait sur eux. Ils découvrent une nouvelle activité, mais ils en découvrent aussi beaucoup sur eux-mêmes”. Il faut preuve que cette C.E.G. est intégrée au nattage d’élégance avantagé (REP). “Cette intégration à ce réseau, qui a pour objectif de corriger l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire par un renforcement de l’action pédagogique et éducative dans les écoles et établissements des territoires qui rencontrent les plus grandes difficultés, nous permet de mieux prendre en compte les difficultés de certains de nos publics, en difficulté sociale ou scolaire”.

Et Pour Patricia De Sotomayor, le conquête est axiomatique. “Ils se rendent comptent, à travers cette pratique sportive et en groupe que leurs efforts sont récompensés. C’est un constat que je fais lors de chaque nouvelle participation à cette ronde. Ils arrivent à reproduire ces efforts ensuite, de retour en classe, au niveau des apprentissages mais aussi de leurs vies au quotidien. Ils prennent confiance en eux, prennent conscience de leur capacité d’apprentissage, de concentration, de la solidarité qui peut exister entre eux… De tout ce qui fait sens dans la société. En fait ; ça leur permet de grandir. Et c’est là notre plus belle récompense”.

La forte a déjà complet encore de la milieu du cursus, et Patricia est persuadée d’une tour. “Quand on va arriver samedi, malgré la fatigue, beaucoup vont dire : c’est déjà fini”.