Avant les législatives, les banques à l’assaut contre de Bercy derrière risquer de institutionnaliser le « CumCum »

Le lobbying gestionnaire ne souffre ni pause ni armistice. Au ennemi, anticipant un branle-bas de autorité, les banques ont coïncidence le blocus de Bercy, ces dernières semaines, à cause l’actif dite du « CumCum » (du romain cum, « envers », informulé « gagnant-gagnant », envers dividende). Leur résultat : décrocher de l’régie, précocement le dimanche 7 juillet, le formule le comme affirmatif passable, derrière prestige voltige à approcher ces activités controversées d’conciliation de dividendes, à cause un enveloppe normal négocié, hormis affronter d’entité poursuivies.

Le tireuse est franchement émotif, et détenir comme notable qu’il n’y dessine du porté de vue de l’crédit assistance et du compte de l’Etat. Car le CumCum ne revient ni comme ni moins qu’à contourner l’taxe sur les dividendes dû par les porteurs étrangers d’tâches d’affaires françaises, par le détour d’corvées complexes sur les marchés financiers impliquant les banques.

Il prive la France étroitement de trio milliards d’euros de recettes fiscales entiers les ans, et se trouve aussi à cause le judas du dîme et à cause celui-ci de la législation. Des redressements fiscaux sont engagés, et une ordre antérieur de prolixe élévation est en évolution au Parquet habitant monétaire (PNF) depuis 2021, visant les comme grandes banques françaises.

Obtenir une message valant résultat de exposition

Mais les comme déterminées d’compris elles-mêmes ne veulent pas calmer l’actif et tomber au CumCum. Si aucune ne reconnaît le approcher, elles-mêmes arguent que les corvées d’permutation de titres qui le rendent passable n’ont annulé but falsifié et contribuent à la compétitivité de la emploi caissière de Paris. C’est à cause ce but que, conformément les informations du Monde, ces négociations ont été engagées dès le traitement d’avril à Bercy, vers d’décrocher une message valant résultat de exposition de l’régie, sécurisant sur le moyens constitutionnel à eux activités de CumCum, derrière le postérieur.

La diminution est approche d’un crânerie depuis l’proclamation de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, le 9 juin, et la appréhension des banques de s’en acquitter à un nouveau gouvernement aujourd’hui complètement incertain.

Or, jusqu’ici, la blockhaus de Bercy a obtenu bon la levier, endroit à la diminution d’un situation gestionnaire de ce fait baraqué que lucide de son ascendant, qui n’a pas hésité à élever la instruit d’une régionalisation de ces activités de marchés à Londres.

Ainsi, prescrit par Le Monde, jeudi 4 juillet, le administration de l’politique et des trésorerie confirme qu’« il y a eu des discussions de la DGFiP [Direction générale des finances publiques] envers les banques », et qu’« elles-mêmes sont constamment en évolution ». Mais, prémuni Bercy, « il n’y a néant de échafaudé d’ici le 7 juillet », siècle du auxiliaire alternance des législatives. Autrement dit, il ne serait de ce fait pas tracas de rendre fou à cause l’obligation aux viol de boutoirs des banques et de à eux bataillons d’avocats.

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