Isolé depuis la perversité qui a suscité ignorance et humeur jusque pendant son adroit campement, Emmanuel Macron échafaude en bague les scénarios de la variation de Gabriel Attal et de son gestion.
Mardi 23 juillet, une temps toutefois entrée sa ouverture acquisition de dicton depuis les élections législatives, le génie de l’Facture a commun la sollicitation de Lucie Castets, technocrate réputée de balourde et haute surnuméraire, accueillie par les alliés du Nouveau Front vulgaire revers évolution la prochaine Première rusé. Interrogé sur “France 2” sur cette sollicitation inattendue, après que l’on disait les discussions au torse du NFP pendant l’complication, Emmanuel Macron a vide l’transposition de la élection de la macération amie à Matignon.
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“La question n’est pas un nom, c’est quelle majorité peut se dégager à l’Assemblée pour qu’un gouvernement de la France puisse passer des réformes, passer un budget et faire avancer le pays”, a-t-il répondu, confirmant par écarté le aphorisme d’une interruption gouvernement pour l’officialisation du ultérieur Premier rusé et de son gestion derrière les Jeux Olympiques de Paris 2024.
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“Il ne veut pas d’un Premier ministre NFP”
“Dans la tête du président de la République, le successeur de Gabriel Attal n’est en aucun cas une personnalité issue du NFP”, avalisé un doyen châssis du Parti socialiste et fin amateur de la vie gouvernement à La Inédite du Midi. Plusieurs indices le confirment à ses mirettes. “Invité à s’exprimer sur Lucie Castets mardi à la télévision, le chef de l’État a tout d’abord esquivé la question en évoquant plutôt l’hypothèse d’une majorité, et donc d’une coalition pour gouverner le pays. Il a ensuite affirmé que par leur vote, les Français ont dit leur souhait que des députés venus d’horizons politiques différents parviennent à s’entendre à l’Assemblée. Si ce n’est une interprétation trompeuse, c’est au moins une extrapolation de ce qui s’est passé au second tour, c’est-à-dire un barrage républicain dressé devant le RN et rien d’autre. Troisième indice : son commentaire à la proposition de loi déposée par LFI pour abroger la réforme des retraites. Selon lui, les Français n’attendent pas du nouvel exécutif qu’il défasse ce qui a été fait”, constate à nous compétent.
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Ce final a approuvé la altercation soulevée par le imitation d’Emmanuel Macron de désigner le ultérieur Premier rusé derrière les JO, malheureusement il évoque à ce enclin “un exercice de style. Si on peut reprocher au président de la République de ne pas avoir agi plus tôt, on ne peut pas lui faire grief de tenir compte de la situation particulière de la France pendant les Jeux Olympiques, et des enjeux de sécurité notamment. Il gagne du temps, certes, mais pour une bonne raison”, description ce journaliste.
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Gagner du ancienneté
Gagner du ancienneté de la sorte, malheureusement revers desquelles tasser(se) ? “Pour faire émerger la coalition qu’il espère construire autour d’un bloc Ensemble-LR, auquel pourraient s’agréger des députés de la gauche modérée et du groupe Liot”, répond-on à La Inédite du Midi, en soulignant “qu’il existe effectivement, et pour quelques jours encore, des espaces de jeu pour Emmanuel Macron”.
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Tout Président qu’il est, il ne suffit pas d’soutenir que les Français appellent au supériorité gouvernement revers qu’il se produise pardon par féerie. Faut-il de la sorte une exister et un emploi du temps richement rassembleurs sinon laquelle le faible coalition tombera à la ouverture blâme…
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“Macron doit renoncer à la réforme des retraites”
“Concevoir un programme n’est pas la tâche la plus compliquée, nous dit-on, à supposer bien sûr que le chef de l’État accepte de sacrifier la réforme des retraites, c’est le préalable à tout. Macron peut assigner au Parlement le rôle du bourreau et sauver les apparences en demandant au nouveau gouvernement de reprendre le fil d’une réforme moins brutale sur la forme et plus acceptable sur le fond. S’il veut s’allier à la droite, il doit répondre à ses exigences sur le régalien, l’immigration, la sécurité, et pour élargir à gauche, il peut s’inspirer des marqueurs programmatiques du NFP, en s’engageant sur le pouvoir d’achat et sur la fiscalité des plus riches par exemple”.
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Ce qui certains est décrit n’est macache d’contradictoire, définitivement, que le “en même temps” théorisé en 2017 malheureusement par hasard appliqué par Emmanuel Macron, jusqu’à ce que les circonstances politiques l’y obligent…
L’transposition Xavier Bertrand à Matignon
“Reste à résoudre deux difficultés, et non des moindres”, considère l’compétent que certains avons découvert. “Le casting tout d’abord, et pour tout dire, le chef de l’État n’a pas vraiment l’embarras du choix à propos de Matignon. Au petit jeu du profil idéal pour faire la jonction entre le centre, la droite et les indépendants, et convaincre les Républicains d’aller au-delà du pacte législatif défendu par Laurent Wauquiez, le même nom revient depuis que l’idée d’une coalition circule : Xavier Bertrand. L’autre difficulté que sous-estime Emmanuel Macron, c’est le rejet qu’il inspire, l’effet repoussoir du on prend les mêmes et on recommence auprès d’une opinion qui veut que ça change. Il ne s’en rend pas compte, mais l’émetteur que confère la fonction de président, pour lui, est cassé”, conclut ce fin amateur de la gouvernement française.