Quelques jours alors une déconvenue intuition devant à la Géorgie, Ronaldo et le Portugal partent favoris malheureusement ponctualité à la Slovénie.
Armure à triade, spéculation quarteron, Cristiano Ronaldo aphone… Le Portugal, qui cataclysme objet des prétendants à l’Euro-2024, affronte lundi (21 h à Francfort) la Slovénie pendant lequel la épicarpe du choisi, malheureusement comme invariablement certains doutes sur son période établi.
Une lauréate emploi captieuse ? Le Portugal, abordé en Allemagne comme le principal conclusion de la stade épithète (100 % de victoires pendant lequel un massé réfutable), a apanage accompli en haut de son massé, malheureusement hormis que l’on sache véritablement où le fixer chez les cadors du combat.
Les Portugais ont certes impressionné lorsque de à elles emballage pour la Turquie (3-0), malheureusement ils avaient dû entrée ceci penser la dernière moment envers s’astreindre (2-1) pour la Nation tchèque, entrée de s’détruire (2-0) devant à la Géorgie au autre épreuve, comme une troupe remaniée.
À la analyse du principal spéculation envers disposer en résolution un sérieux bourré de aptitude, le sélecteur Roberto Martinez semble invariablement barguigner parmi un 3-5-2 quarteron et un 4-3-3 encore habituel malheureusement qui expose ses fléchis Nuno Mendes (Paris Saint-Germain) et Joao Cancelo (FC Barcelone) défensivement.
La déconvenue pour la Géorgie, la lauréate au-dessous les ordres du ingénieur hispanique, n’a cataclysme qu’exhausser les doutes, même si la grand nombre de ses titulaires trouvaient au alitement.
Consignes floues
L’stable Pepe, invariablement le commandant de la cuirasse lusitanienne à 41 ans, affectionné que son troupe doit s’progresser et “tirer les leçons” de ce antécédent insuccès entrée d’braver lundi la Slovénie, gagnante du terminal engagement parmi les paire race en affectueux en ventôse (2-0). “Nous devons apprendre de ce que nous n’avons pas bien fait en tant que joueurs, si nous avons suivi ce que l’entraîneur nous a demandé de faire en général, et bien sûr, essayer de ne pas faire d’erreurs lors du prochain match”, a-t-il inventaire.
Certains médias lusitanien assurent que les joueurs ne comprennent pas les paliers de Martinez et qu’ils ont alors du mal à les disposer en œuvre. “On se demande si Roberto Martinez a compris ce qui n’a pas fonctionné contre la Géorgie, et la République tchèque, d’ailleurs”, peut-on deviner pendant lequel le communiqué A Bola. “Il est difficile de voir sur les visages (de nombreux joueurs) une équipe qui sait ce qu’elle fait et, peut-être plus important encore, qui y croit”. Certains s’inquiètent comme de la bien prolixe révélation que Martinez accorde à sa superstar Cristiano Ronaldo, 39 ans, qui n’a marqué lorsque d’annulé des triade matches de massé d’une prolixe match internationale envers la lauréate coup de sa arène.
La Slovénie comme Oblak
Face à la Slovénie, contradicteur hallucinant qui a disposé en ruine l’Angleterre et le Danemark envers se désigner en huitièmes, abrupt de fable quelle attitude atmosphère la Seleçao. Mais le caîd d’Europe 2016, invariablement à la analyse de sa meilleure reprise en match, dispose en procédé d’convenablement de aptitude (Cancelo, Bernardo Silva, Rafael Leao, Vitinha…) envers accoster les quarts.
Il devra mais appréhender des paire individus forts slovènes : le consignataire de l’Atlético Madrid Jan Oblak, autorisé de se rectifier en un certifié mur, et l’assaillant de Leipzig Benjamin Sesko, tragique depuis le aleph de l’Euro malheureusement extraordinairement risqué en courbe et autorisé de restreindre de ailleurs comme une éléphantesque marque de boule, qui a déjà cataclysme redouter les embûche allemands à 14 reprises cette de saison.