Euro 2024 : pile l’staff de France et ses leaders, opposés au Portugal, c’est le circonstance d’personnalité noble

Huit ans alors la conclusion remportée par la Seleçao au Stade de France, la France retrouve le Portugal, ce vendredi 5 juillet (21 h) à Hambourg. Pour prolonger de rêvasser à un alors, les Bleus, solides uniquement inefficaces, doivent étendre le ton. Et atteindre à eux leaders, Mbappé et Griezmann.

À l’début d’une rue, une séparation. Et ces mots écrits en saxon : “Interdit aux moins de 18 ans et aux femmes”. À Hambourg, le segment cramoisi de Sankt Pauli est pareillement illustre pile son association de foot antifasciste et antiraciste que pile sa vie trafiquant. Et ses nuits fauves. Dans cette cité du nordique de l’Allemagne, le timbale de conclusion de l’Euro convaincu le Portugal et la France, ce vendredi, sera transparent de intégraux, et favorablement. Mais il pourrait avoir produire d’un rencontre crépitant, où se confondent l’écho, l’gageure et les grands joueurs parmi un arborisé exclu aux moins téméraires.

“Je suis convaincu que ce sera un gros match demain, a prévenu Didier Deschamps jeudi. Historiquement, ça a toujours été des matches serrés.”

Très fréquemment serré

France et Portugal, les duels ont séparé la majorité des grandes campagnes des une paire de concitoyen pile le leader et tantôt le mauvais. 1984, 2000, 2006, 2016 : en isolation ans, les confrontations en délassement à licenciement claire ont passage sur une paire de titres pile les Bleus et un à la Seleçao, glané au Stade de France il y a huit ans au bain d’un large de sanglot (0-1 ap). Trois jour sur quatre, autant, il y eut une rassemblement de continuité. Entre les une paire de nations, les garçon sont ténus. Ils ne se desserrent pas commodément.

Il le faudra ce vendredi fête, parmi le inférieur contenance d’Europe. Mais si les Lusitaniens ont ramé front à la Slovénie, vaincue aux tirs au but en huitièmes de conclusion (0-0, tab 3-0), ce sont mieux les Français qui n’ont pas mieux parachuté les amarres. Pays-Bas (0-0), Pologne (1-1) ou Belgique (1-0) : les Tricolores ont prôné une sentiment de résistance et de perdant globale uniquement sinon cylindrée attaque et accentuation.

“Aujourd’hui, ça suffit, mais avec le niveau qui augmente, sans dire que le Portugal est supérieur à la Belgique, améliorer notre efficacité, c’est important”, a flagrant le sélecteur, sinon se angoisser des reproches sur la honneur de jeu.

“Un moment un peu plus dur” pile Griezmann

La contour devrait personnalité différente, vendredi. Porté par sa tenir de balluchon, la puis levée de cet Euro, le Portugal est un bestiole d’un changé origine. Avec un félidé, Cristiano Ronaldo, et une quantité de prédateurs, de Bernardo Silva à Rafael Leao en piéton par Bruno Fernandes. Pour une jungle de dangers. “Tous sont à surveiller. On ne va pas faire cette erreur de ne cibler qu’un joueur”, a promis Kylian Mbappé.

La Hollande ou les Diables Rouges possédaient, eux autant, des arguments. Mais ils avaient séduisant la retard front aux Bleus. “Est-ce que le Portugal aura la même attitude ? Je ne sais pas”, s’interroge “DD”, qui a d’discordantes questions en traits. Le substitution d’Adrien Rabiot, rompu, et sinon prémonition suppléé au bain par Eduardo Camavinga, en est une vitale. Le prodigalité des leaders, Kylian Mbappé et Antoine Griezmann, est alias puis allergique.

Diminué par son carnaval, “Kyky” n’a marqué que sur penalty et concède “ne pas avoir toutes (s) es jambes”. Pour “Grizou”, embarrassé une gaucherie en aucun cas vue, c’est la traits et un transparent mélancolie qui inquiètent. “Il n’est pas en déprime, je vous rassure”, a dédramatisé Deschamps. “C’est un moment un peu plus dur pour lui”, a complété le guide, jugeant “injuste” le “manque de reconnaissance”.
Pour les une paire de, porte-fanions de tellement d’ambitions et de réussites passées, dans pile les Bleus, il suffirait d’une braise. Le circonstance est réunion trouvé. Parce que c’est celui-là des grands, comme les barrières sautent.