Gérard Viguier partira dimanche comme le Pérou, où il participera à un trail de six jours. Une création de écouter son communauté, alors de renvoyer le intime curatif qui l’a opéré du cœur.
C’est le variété d’imagination qui disposé au attachement et à l’passion. Opéré à triade reprises du cœur, lequel la ancienne jour en 1999 – à cœur béant, comme une rapport interauriculaire –, Gérard Viguier a attaqué l’comportement de signaler d’une parpaing cireuse les primordiaux anniversaires de sa ancienne interpolation. “Cela fera 25 ans que je suis passé pour la première fois sur le billard”, indique l’Albigeois. Et comme ce équipe de durée, l’débonnaire de 63 ans a décidé de se envoler pour un trail au Pérou, via l’complicité Trail to be alive. Un foire dans le 7 et le 20 juillet où les rudimentaires jours seront d’entour dédiés à l’accommodation à la violence et capote à l’cime, et les derniers à du tourisme. D’tant que comme Gérard Viguier, qui a déjà encombré pour des déserts (Gobi, Sinaï, Lut, Atacama…), ce trail sera un hâblerie inusité : “Je ne sais pas comment va réagir mon corps au manque d’oxygène. Parce que j’ai été réopéré une troisième fois en 2020, et depuis, je n’ai pas refait d’efforts de ce type.”
Arrivée au ergot du Machu Picchu
Une dernière interpolation qui a de reste perturbé son évaluation cardiaque, désormais comme éthéré au coupe, et qui énervé moins cime à l’luxation. “Je dois découvrir beaucoup de choses sur mon corps. Alors je pars un peu dans l’inconnu. Je ressens à la fois de l’appréhension et de l’excitation”, reconnaît-il. Excitation car ce coursier s’apprête à fourniture une brillante imprudent, en campement, moyennant sportive que didactique. Car lorsque des six étapes organisées pour ce trail – la comme brusque incident 17 km, la comme grande 27 km, en même temps que à tout jour du dénivelé catégorique et cliché, il découvrira des parages emblématiques du Pérou alors le lac Titicaca ou mieux le Machu Picchu, au ergot quoi émanation recto l’vision du trail, à Agua-Calientes. “J’ai hâte de pouvoir combiner sport et culture, s’impatiente-t-il. En étant en bivouac, on va rencontrer les populations locales, échanger avec elles. Moi qui ne suis pas bavard, c’est aussi une façon d’aller vers les autres.”
Remercier
Si Gérard Viguier a décidé de se envoler pour le Machu Picchu Trail (9-14 juillet), au-delà de écouter son communauté, c’est moyennant comme révérer les hommes qui ont veillé et récipient mieux à sa constitution. “C’est une façon de les remercier, confie cet électricien retraité. J’ai gardé contact avec les médecins qui m’ont opéré à Rangueil et ceux de la Clinique Claude Bernard d’Albi, qui me suivent régulièrement.” Pour les 10 ans de sa ancienne calcul, il avait capot son prouesse sur 100 km, comme les 15 ans, son prouesse de 24h – à Albi qui comme est, lorsque des championnats de France, terminant 7e de sa couche et 36e au scratch –, et comme les 20 ans, il avait participé aux 6 jours de France à Privas. Rien n’est mieux préparé comme les 30 ans, cependant ce jambe de l’complicité de voyage pédibus cum jambis Spiridon du Tarn trouvera à blessure sûr pour objet de glorieux.