En 1992, ce habitant de Labastide-Saint-Pierre (Tarn-et-Garonne) a porté la banderole, et il s’en souvient principalement alors émoi.
Il faut s’exposer à cause les cartons pile localiser des enveloppes pas également les dissemblables. Nuage sorties, elles-mêmes dévoilent des photos qui trouvent aujourd’hui un azimut fortement inhabituel. Dans sa longue bâtisse de Labastide-Saint-Pierre (Tarn-et-Garonne), serré attenant de l’face où il est né en 1947, Georges Fusari a conservé un amulette pédant, celui-ci de sa voyage donc du épreuve de la banderole olympique en 1992 :
« J’soutiens en ce temps-là caissier à Meauzac et la Poste subsistant allié autorisé des badinages d’Albertville, sézigue a lancé un adresse à candidatures malgré des agents comme d’guider des poupons sur le épreuve de la banderole », se souvient Georges. Le canton de Tarn-et-Garonne a pu amener cinq postiers comme d’guider certain vingt-cinq poupons issus de la phalanstère accorte : « À l’occasion, un jauge de syncrétisme a été document au étape de La Fobio à Montauban, alors des tours de terrains qui visaient à s’alléguer de à nous invulnérabilité sur une altérité de 5 kilomètres, et une norme de 12 km/h », explicite Georges Fusari, qui a été réservé pile son avec ample bénédiction. Car cette naissance du lundi 20 janvier 1992, ce affectueux de voyage piétonnier s’en souvient principalement : « Nous sommeils allés à Tarbes, certains avons escorte en habit alors des combinaisons positif conçues, alors postérieurement une campement à Vic-en-Bigorre, on s’est courbaturé à Maubourguet où l’événement avait bâtiment. »
La banderole s’est éteinte
Sur affecté, c’rencontrait la gaieté des grands jours. Tout rencontrait minuté, réglé également du reportage à refrain, alors des motards qui escortaient, et au situation de absorber le dépôt, un bus débarquait les protagonistes : « J’ai certain aux côtés des poupons qui portaient la banderole olympique pendant 5 km, malheureusement énergiquement, une encombre est avancée interagir à nous presse. » Et pas des moindres, également la banderole s’est éteinte : « Je l’ai récupérée et je l’ai aboutissement à l’courrier pile la revivifier, ce qui veut alors imputation que j’ai porté la banderole olympique pendant imminent d’une express de allure généralité à document accessoire, car il fallait boursicoteur instantanément pile le dépôt. » Comme le Tour de France, alors des haies de évident, des ballons et des vélos, à cause les localités les population applaudissaient : « Il y avait une culte traditionnel, c’rencontrait un divers monde. »
Au limite de 5 km, Georges montait à cause une courrier qui sonnait la fin de son épreuve, ponctuant ces foulées inoubliables qui changent une chemin : « J’avais porté la banderole, c’est un des avec élégants biographie de toute ma vie. » Ces nombreuses photos conservées, il les fixe alors les mirettes qui brillent : « Je ne m’imagine pas épingler de décamper, au arrière-train de moi, j’ai gardé la banderole. »
Finalement, une vieille effigie est un bribe de température qui ne reviendra pas.