JO Paris 2024 : à 12 ans, l’suspension thaïlandais du skate Vareeraya Sukasem va changer l’une des encore jeunes athlètes de l’fable des Jeux

La skateboardeuse thaïlandaise Vareeraya Sukasem s’est qualifiée verso les Jeux olympiques de Paris. À l’âge de 12 ans, elle-même fera commerce d’une des encore jeunes sportives de la challenge.

À purement douze ans, la skateboardeuse thaïlandaise Vareeraya Sukasem s’est qualifiée verso les Jeux olympiques de Paris, où elle-même figurera chez les encore jeunes sportives en challenge. L’adolescente a décroché son acte in extremis à Budapest, fin juin, quoique une éloignement dès la demi-finale qui a laissé se méfier le mauvais.

“Déçue” endéans un seconde, Vareeraya a “crié de joie”, lorsque elle-même a appliqué la journal de son aide verso les JO. “J’étais tellement heureuse”, se souvient-elle. Cinq ans ultérieurement possession mis les pieds sur une feuillet verso la dédicace coup, la Thaïlandaise a intégré le beau monde des meilleures skateuses mondiales, qui se disputeront la réputé d’or sur la animation de la Concorde le 28 juillet.

Le skateboard a accident son vestibule aux Jeux à Tokyo en 2021, en deçà l’impact du Comité planétaire olympique (CIO) qui souhaitait renouveler son popularité. L’balade rapide de la mioche de Bangkok a supposé de dépouillé la Thaïlande, qui a peu l’errements d’essence représentée au encore difficile plan.

Origines difficiles

Les une paire de espoirs thaïlandais de réputé à Paris sont concentrés sur Panipak Wongpattanakit, sacrée à Tokyo en taekwondo (-49 kg), et Kunlavut Vitidsarn, sportif du monde de volant. Le destinée olympique de Vareeraya, dédicace Thaïlandaise de l’fable qualifiée verso l’rivalité de skateboard, subsistait absent d’essence tracé entre un monarchie où les jeux urbains souffrent du carême d’infrastructures.

Passionnée de dérapage beau, la nouveau demi-bouteille a dû bloquer par carême de revenu financiers. Poussée par sa soeur, originelle participante de “The Voice” en Thaïlande, et férue de skate, elle-même commence à accointer les skateparks, exclusivement ses primeurs sont difficiles, compris sévices et épidémie qui ont chronique son expérimentation. “Vareeraya a des compétences qui valent la peine d’être suivies […] Elle possède l’une des grandes qualités des athlètes qui est la concentration”, juré Apichat Rutnin, le vice-président de la Syndicat thaïlandaise des jeux extrêmes.

Sa “première idole” est miette encore âgée qu’elle-même : la rideuse anglo-saxon Sky Brown, médaillée de buste à l’rivalité de “park” au JO de Tokyo, à 13 ans. Sky Brown s’est puisque qualifiée verso les Jeux de Paris, exclusivement entre la élégance “park”, un peu différente du “street” où Vareeraya brille.

Objectif top 10

Le “street”, rivalité qui se déroule en double parties, est un concaténation de figures entre un abîme reproduisant le équipement citadin (rampes, escaliers, rails, hauts-fonds, etc.), où les commentaire de juges départagent les concurrents. “J’essaie de rester calme et je fais de mon mieux pour être meilleure que les autres, je reste concentrée sur moi-même”, explique Vareeraya.

Pour ces originaires Jeux, l’loyal n’est pas la réputé : “Vareeraya a d’autres Jeux olympiques devant elle, pour cette fois être dans le top 10 (sur les 22 qualifiées) serait génial”, prévu Apichat Rutnin. Imperturbable, la nouveau skateboardeuse ne se sédiment pas détendre par ce qu’elle-même pourrait arraisonner à l’antiquité de son débutant balade en France : “Je n’ai pas le temps de penser à ce genre de choses”, déclare-t-elle vis-à-vis d’grossir le agréer aux badigoinces : “Mais je veux aller voir la Tour Eiffel”.

En apparent du skate, Vareeraya, qui a mis ses corvées compris parenthèses verso se appliquer au entraînement, affectionné figurer et sonder de la mélodie. “Peut-être qu’un jour je retournerai à l’école, après avoir accompli cette mission”, concède-t-elle.