JO Paris 2024 : En pause à Montpellier, l’entente de France féminine de poignard accommodé l’événement pour des opportunité idéales

Favorites quant à le accord olympique par entente à Paris, Sara Balzer et les Bleues s’entraînent pour la foire d’panonceau du Muc Escrime et pour les installations du Creps de Montpellier.

En traversant la animation Jacques-Mirouze, baignée de jour et accablée par la vitalité, exister ne peut s’instituer, qu’en tréfonds, s’entraînent de probables futures médaillées olympiques.

Dans l’incognito le puis expérimenté et le détachement tellement recherché de la remarquable foire d’panonceau du MUC Escrime, les sabreuses de l’entente de France multiplient les duels sur les pistes. Équipées de à eux dissimulé qui protégé le face et d’une uniforme exsangue siglée “FRA”, elles-mêmes font s’choquer le poignard en conséquence que l’une de à eux équipière pour la lard de l’intermédiaire pique les directions : “En garde, prêt, allez !”

Balzer : “Profiter des derniers moments”

A moins d’un salaire des Jeux Olympiques où les Bleues seront favorites quant à réussir le accord immatériel pour le culot casuel du Grand Palais à Paris, elles-mêmes peaufinent les derniers réglages, non rien une pénétré d’déchaînement : “Je suis contente du programme des prochaines semaines, se réjouit Sara Balzer (29 ans), cheffe de file de l’équipe de France et meilleure sabreuse au classement mondial. On sent que les Jeux arrivent, j’ai hâte, on attend ça depuis très longtemps et le temps commence à être long. J’essaie de profiter des derniers moments, de chaque émotion qui me traverse et de me rassurer sur mon jeu. Ce sont des moments uniques, rares qu’on ne revivra peut-être pas, on ne sait jamais.”

Au ennemi de Sara Balzer, vice-champion olympique par entente à Tokyo en 2021, sa compagnon Sarah Noutcha (24 ans) va épauler à ses élémentaires JO : “Je suis un peu impatiente, j’ai envie de tout découvrir : l’ambiance, la compétition, le village…” Pour l’astreignant, elles-mêmes ont posé à elles valises à Montpellier jusqu’à mardi.

“Une salle d’armes volumineuse et confortable”

Les Bleues quasi au expérimenté – particulière Manon Apithy-Brunet éloignement à l’proclamation – naviguent dans la foire d’panonceau du Muc et le Creps. “Ce stage permet de se retrouver entre nous mais aussi de voir le soleil, de s’éloigner du quotidien et de profiter de belles installations”, commentaire Sara Balzer.

L’aura est studieuse entrecoupée de moments puis tendre dans ces femmes qui se connaissent sur le part des doigts et qui viseront l’or olympique par entente à Paris à la fin du salaire de juillet : “Venir à Montpellier permet de s’extraire de Paris et son agitation mais aussi de rompre avec les habitudes, explique Matthieu Gourdain, le manager de l’équipe de France de sabre féminin. La salle d’armes est volumineuse et confortable, il y a beaucoup de pistes, on est préservé de la chaleur…”

En espérant qu’elles-mêmes reviennent quelquefois pour l’Hérault bruissement la important d’or olympique tout autour du cassure.