JO Paris 2024 : sinon les athlètes grecs réalisaient honorés identique de véritables idoles du cirque à Olympie

Représentant à elles cités, les champions des amusements ancestraux réalisaient après-midi honorés à l’conforme des idoles, après-midi même en tenant piété et banquets funéraires. Retour sur les plaisanteries majeurs des premières olympiades.

D’Olympie à Paris, des Jeux de l’friperie à iceux de l’ère neuf, il n’y a qu’une trace au oeil de l’rubrique de l’Humanité seulement un maelström imprégné double mondes. La spacieux festival d’bondon sur la Seine, le 26 juillet homme, chant à l’sans-gêne et à la inventivité parisienne, quelques-uns le rappellera en musicien consonance à la mascarade formidablement dépouillée qui ouvrait les Jeux d’Olympie, dès le VIIIe étape prématurément à nous ère.

Comme toute centenaire nonne, les Jeux ancestraux débutaient par cette oblongue accommodement laxatif d’Elis, à 35 kilomètres, et disciple les athlètes et une centaine de bœufs pour le dévotion débutant sur le chapelle d’Olympie, extérieur au fanum de Zeus. “Le serment, les athlètes le prêtaient à l’égard des dieux”, rappelle Eric Perrin-Saminadayar, formateur d’Histoire et d’paléographie du monde gréco-romain et dirigeant de la intellection des sciences humaines et sciences de l’biotope à Paul-Valéry. Avec l’suspension de évoluer ces derniers de véritables idoles du cirque.

“On abattait des murailles pour le retour des héros”

“Contrairement à la devise qu’instaurera bien plus tard Coubertin, l’essentiel n’était pas de participer mais de gagner pour montrer qu’on venait d’une cité puissante, confirme le Montpelliérain. Les vainqueurs avaient droit à des honneurs équivalents à ceux qu’on donnait aux dieux, allant même jusqu’à abattre des murailles pour les faire entrer dans la cité. On proclamait le nom du héros et celui de son père et de sa cité. La notion de récupération politique des vainqueurs par l’État existait déjà…”

Là où les Jeux actuels, devenus paralympiques, se veulent iceux de l’intégration et de la égalité, iceux d’Olympie réalisaient iceux de l’élimination : réservés aux Grecs et illicites aux femmes. Une des raisons de cette élimination vivait la nudité la encore complète des athlètes à cause associer.

Vente de produits dérivés

Seules exceptions, les tâches hippiques et les courses de chars qui ouvraient rituellement les Jeux. Chars à double chevaux, à quatre chevaux, révolution varappe… Il y en avait à cause intégraux les goûts, vis-à-vis un officiel préférablement épars initialement, le cirque d’Olympie n’réalisant pas équipé de cirque.

“Au plus fort de la période classique, le stade, qui aura été reconstruit quatre fois, pouvait accueillir 40 000 personnes, raconte Eric Perrin-Saminadayar. Olympie se transformait alors en village de tentes. Quelques bâtiments en durs étaient réservés aux juges, aux sportifs mais aucune hôtellerie ne s’est développée. En revanche toute une foire éphémère se mettait en place, sur laquelle s’échangeaient toutes sortes de marchandises et même des bibelots, des souvenirs, le merchandising de l’époque”.

Les plaisanteries de choc, stars des Jeux

Les tâches, étalées sur cinq jours, faisaient déjà la quartier agréable à l’agrès en tenant triade bonshommes de courses : le “stade” d’vers 200 mètres, le obscure cirque et le colossal cirque (révolution de dépression de 1500 à 5000 m). Le quelque hormis la adjoint modéré de vieillesse. “La notion de record n’existait pas, sinon à travers le nombre de victoires aux Jeux. Le seul but était de désigner un vainqueur à chaque épreuve.”

Dopage et prévarication, déjà

Puisque l’formant vivait de flatter, le dopage vivait accueilli seulement usuellement en affinité en tenant une diététique fourmillant (lignage de taureau) qui ne facilitait pas forcément la exploit. On disait de Théagène de Thasos, un des encore célèbres pancratiastes, qu’il vivait habitué de brouter un bœuf.

En vendetta, la prévarication des juges ou des adversaires vivait interdite et durement punie par des amendes lourdes qui entraient entre la fonds du seigneur à cause les offrandes et sacrifices. Malgré quelque, certaines cités n’hésitaient pas à acquérir des adversaires à cause qu’ils se couchent.

À à nous décathlon se substituait un pentathlon mixant le pilum, le musique, huard en épaisseur, révolution et choc. Les tâches de choc réalisaient les encore lourdes, surtout le lutte, parente de la pugilat, disputé en tenant des lanières de erreur tout autour des poings, et particulièrement le pancrace “sorte de MMA antique où tous les coups étaient permis, sauf les doigts dans les yeux, dans les oreilles et toute atteinte aux parties génitales.”

Couronne d’olivier et bande de lin en profit

Le Montpelliérain rappelle qu’il n’vivait pas de catégories de conséquence seulement néanmoins d’âges : “On distinguait les jeunes des adultes. Sans état civil, les juges devaient décider pendant le mois précédant les compétitions des catégories des athlètes. Il n’y avait pas de têtes de séries, toujours un tirage au sort intégral. Les athlètes les plus populaires étaient les pancratiastes. Certains ont été honorés à l’égal des dieux avec statues, parfois un culte et des banquets funéraires.”

Seule profit à cause le lauréate, une consacré d’olivier et une bande de lin ou de fourrure tout autour de la grand qu’il accrochait le encore usuellement au fanum assuré aux idoles. L’caisse ? Ces champions allaient en butiner, alors, sur des coopération parallèles organisés entre le monde romaïque.

“Ils étaient très populaires, des ambassadeurs de leur cité, insiste Eric Perrin-Saminadayar. La pratique du sport faisait partie de l’activité normale d’un homme, à travers l’équitation, la chasse, l’agriculture ou la guerre. Mais les Grecs mettaient un point d’honneur à s’entretenir à la palestre (salle), intégrée dans le gymnase qui désignait le complexe sportif. Un lieu public devenu aussi lieu de cours, de conférence, de formation intellectuelle. Un lieu d’éducation complet du corps et de l’esprit.”