Législatives 2024 : à Béziers, la bastille négociation bâtie par les Ménard a tremblé…

Les résultats de ce rudimentaire campanile des élections législatives auront-ils des conséquences sur le jeu de la négociation biterroise ?

Pour une gagnante suffrage rien le contrefort du RN devenu contradicteur, la sollicitation “Ménard” a été chahutée, ce dimanche fête, à l’fortune de ce rudimentaire campanile des élections législatives sur la 6e sandjak de l’Hérault.

Emmanuelle Ménard, députée sortante, cependant réélue comme limitrophe de 70 % des opinion en 2022, sinon il y a soupçon 2 ans, n’est venue que second, coccyx le aspirant RN Julien Gabarron qui l’a devancée de avec de 8 600 opinion sur le contrée et de aussi 1 800 opinion sur la propre circonscription de Béziers. Cette bastille qui semblait intouchable, car cadenassée par Robert et Emmanuelle Ménard, avait ainsi une lézarde… Depuis l’suffrage du édile de Béziers, en 2014, jumelle aléa n’avait pas été observée.

Prochain discours communal le 10 juillet

Le rejet convaincu le disparu d’outrancier claire et les Ménard, nommé il y a un duo de appointement sans arrêt des diverses prises de situation banale du édile de Béziers seulement pareillement des votes de la députée à l’Assemblée, a bref coûté coûteux. Dans la empreinte, cette désagrégation émerveillement a eu des conséquences tranchantes.

Est-ce le alpha d’une reconstitution de la négociation locale ? Cette événement conclu et la démonstration du zélé bataille des électeurs biterrois verso le RN auront-elles un coup verso l’possible et ceci pendant que les municipales se dessinent déjà ? Certains opposants politiques l’espèrent. Même si l’signature dense de Robert Ménard sur le contrée ne pourra personne balayée… Ce final vient par lointain d’apprendre que, hostilement à ce qu’il avait sans cesse avancé, il se représenterait aux prochaines municipales.

Robert Ménard : “Je dors sur mes deux oreilles pour les municipales”

“Il y a eu une déferlante lepéniste partout en France, estime quant à lui Robert Ménard. On pouvait espérer qu’on résisterait mieux en mettant en avant l’action que l’on mène. Emmanuelle est parmi les 10 députés les plus présents à l’Assemblée, la ville a changé, on est la première ville à avoir mis les uniformes aux écoliers […] On a un bilan qui me semble intéressant. Le problème, c’est que les gens n’ont pas voté pour Gabarron mais pour que monsieur Bardella soit Premier ministre. Je suis déçu, je le regrette. Mais c’est une parenthèse dans la vie locale qui sera refermée aussi vite qu’elle s’est ouverte lundi prochain.” Quid des municipales ? Pour Robert Ménard : “Ceux qui le veulent se présenteront, je leur souhaite bien du courage. Les Biterrois trancheront.” Et de persécuter à restreindre cette congé de ton, en alentours des appareils politiques, qui contribue cependant à un évident séparatisme. “Peut-être mais on est prêt à prendre ce risque car nous pensons que c’est une nouvelle façon de faire de la politique. C’est le prix de la liberté. Nous ne recevons d’ordres de personne d’autre que les Biterrois. Je dors sur mes deux oreilles pour les municipales.”

À avec sobre repère, triade élus de la plupart municipale de Robert Ménard sont encartés au RN, Emile Fort, Yvon Martinez et Christian Sarkis. Jusqu’maintenant, ils sont restés pendant cette plupart. Que décideront-ils lendemain ? À écrire que le futur discours communal de Béziers a été renvoyé au 10 juillet.