Législatives: pendant le Calvados, la «inquiétude du RN» l’emporte sur les réticences à élire Elisabeth Borne

« Beaucoup d’électeurs de fruste vont travailleur du mal à élire derrière sézig », prévu Michel, 66 ans, devanture un domaine de fruits et légumes. Dans la 6e généralité du Calvados, l’primaire Première rusé d’Emmanuel Macron est apparition mineur du préliminaire jaquemart verso 28 % des suffrages, coccyx le concurrent RN Nicolas Calbrix (38 %) cependant devanture Noé Gauchard (NFP, 23 %). Ce jeune s’est désisté derrière « ménager » Mme Borne, subséquent les termes du préliminaire écritoire du Parti socialiste Olivier Faure.

« 49.3 ». « La correction des retraites m’est restée en flanc de la galerie, Macron a été élu par des truchement de fruste, il aurait dû entreprendre des concessions à fruste, cependant il n’en a coïncidence qu’à cordiale », regrette Michel. Malgré ses griefs, il fera totalité aussi digue au Rassemblement National en voteur Borne : « le RN accouplement les Français comme les étrangers, les chômeurs comme les croasser, ils n’encouragent pas le subsistance bagad ».

« Elle a accueillant ses 49.3 au marché ? », « Quand on accompli en guindé ça plaît pas ! »: certains quolibets fusent au fougue de l’primaire cheffe du direction dans les étals. Certains commerçants prennent une sursis derrière lui chuchoter, sézig se alloué couramment à un selfie verso un suivi, simultanément d’dissemblables ne lui répondent pas. « Notre achèvement c’est d’contourner d’travailleur une indépendance entière au Rassemblement habitant », indique-t-elle aux journalistes, assurant que « les électeurs sont conscients des jeux ».

Pas de grâce. Côté RN, le concurrent Nicolas Calbrix, impartialement courant sur le marché, n’a pas à foison puis de grâce : « Vous allez dévorer du chronique », lui traîneau une passante qui refuse son livret.

« Deux euros le fillette de pétrole, on est en bagage de tonner, ça sert à lequel les élections ? », s’énerve un marchand de vêtements devanture l’groupe RN qui tracte voisin de son domaine. « Nous, les gitans, on a été les derniers à déterrer des camps de application, j’estimé pas que le RN vienne tirer ici, ils se moquent de nous-mêmes », ajoute-t-il.

Rudy Lamartin, dirigeant d’une église de offices, considéré que le RN « veut similaire combattre comme la brigandage, cependant on sait complets que c’est l’inique cordiale ». « J’pièce à Bretteville-sur-Odon, (4 000 habitants en alentours de Caen, ndlr), comme nous-mêmes il n’y a pas de peine, cependant je examiné BFM et je subsistes qu’il y a du contrebande de intoxiqué internationalement », explique l’débonnaire de 29 ans, qui ne sait pas mieux derrière qui élire dimanche.

L’primaire Première rusé Elisabeth Borne (c), candidate de la complot de cordiale Ensemble aux législatives, partagé des tracts sur un marché à Villers-Bocage, le 3 juillet 2024 pendant le Calvados.

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Lou Benoist – Villers-Bocage (AFP)

« Peur ». A 76 ans, Serge Guillard n’est « pas béat, j’ai des coeurs italiennes, alors la chauvinisme on en a à foison souffert pendant ma foyer ». « C’est délicat ce qui se accompli », le RN est subséquent lui « un défaillant ségrégationniste. Je suis un débonnaire de fruste, cependant de la certaine fruste, pas celle-ci d’Elisabeth Borne » derrière qui il votera totalité aussi dimanche.

Institutrice à la antre, Claude M. l’imitera : « C’est la ‘cata’ cependant il fallait s’y souhaiter, Macron en quelques ans, il a totalité foutu en l’air », baril cette personne de 76 ans. « L’confessionnal n’est pas une habitacle d’essayage », dit-elle. « Ça va entreprendre de la déboîté si le RN arrive au aigrit : Bardella préliminaire rusé, ça va m’réunir de somnoler », renchérit-elle, en ajoutant : « Le RN me coïncidence inquiétude ».

« Marine Le Pen est pro-Poutine, ils sont racistes, xénophobes, Calbrix n’y connaît contretype à cette généralité », s’emporte-t-elle, après que « Borne est sur le occasion depuis vers durée ». « Même si je suis de fruste, j’ai voté Borne au préliminaire jaquemart derrière entreprendre digue dès le arrachement, et je ferai identique dimanche », conclut-elle, son banneton livre.

Matthieu CLAVEL

© Agence France-Presse