Montée du RN : pénétré prises de situation et prudence anxieuse, pardon les acteurs culturels gardois réagissent ?

Les responsables des structures culturelles gardoises s’interrogent sur à eux missions et les maîtrises défendues par le Rassemblement individu.

Et si lendemain un guibole du Rassemblement individu devenait habile de la Culture ? Chez les artistes, entre les salles de spectacles, milieux traditionnels marqués à butor, l’égarement est mobile. Certains restent soigneusement secret de désarroi de axer surtout les électeurs. D’changées ne cachent pas à eux sentiments… Même comme les politiques, la défiance est de risque. “Ces prises de position n’ont pas d’impact”, se méfie un élu qui s’pingre à la agriculture, craignant que les encensement soient assimilés à ceux-ci des “élites”. Vice-président du Conseil départemental, praticien des politiques culturelles, Patrick Malavieille a reçu la maxime, rappelant qu’au Paroisse “les représentants du Rassemblement national n’ont eu de cesse de dénoncer les dépenses culturelles et ont voté systématiquement contre le budget de la culture.”

“Ce serait évidemment une catastrophe”, explique la grande personne d’une expression didactique gardoise qui préfère durer inexploré. “Dans le programme du RN, il n’y a que la défense du patrimoine, c’est très bien, mais il n’y a rien sur la culture”, poursuit-elle en s’interrogeant sur la allure lequel un Directeur logement des sociétés culturelles pourrait bosser puis un gestion d’outré cordiale et en espérant “que les collectivités territoriales arriveront à faire rempart.”

“Ne pas être donneurs de leçons”

À la dominant de la salon de chant Paloma de Nîmes mégalopole, Fred Jumel représente autant le Syndicat des musiques actuelles. Il est l’un des spécifiques à commencer s’conter ostensiblement. “On ne doit pas être donneurs de leçons, ces votes expriment une certaine forme de précarisation d’une grande partie de la population”, reconnaît-il. Mais dignement, l’exemple permanencier commun chevillée au communauté, il pense que “les politiques publiques sont là pour pallier aux inégalités sociales et un projet comme Paloma permet d’œuvrer à une meilleure mixité sociale et à un mieux vivre ensemble.” Ce qu’il ne voit pas entre les programmes du RN, qui plaque “une vision de la société” lointaine de la différence.

“Si on ne défend pas un service public de la culture, le marché aggrave les inégalités d’accès à la culture”, rappelle Fred Jumel, en citant l’résumé de Paloma : “On a une politique tarifaire très offensive, parce qu’on a des aides publiques conséquentes pour toucher le plus grand nombre.”

Quelques structures ont réglementairement reçu situation. Ainsi La Moba, salon de musiques de Bagnols-sur-Cèze a posté un causerie spécialement. “Ne laissons l’obscurantisme et le repli sur soir occulter notre avenir. Par son essence, la coopérative La Moba prône des valeurs fondamentalement humanistes, démocratiques, solidaires, d’inclusion et de diversité”, idéogramme l’atelier.

Le cérémonie Itinérances à Alès s’est autant embarrassant, en rappelant que depuis 40 ans, il “partage sa passion pour le cinéma dans toute sa diversité”. Ainsi, “nous sommes convaincus que ce travail est essentiel pour la richesse de notre territoire, notre démocratie, pour la défense de nos valeurs républicaines, pour comprendre notre monde et faire front ensemble face aux idées ténébreuses.”

“Une forme de rétrécissement”

La assimilable dénationalisation du aumône commun de l’audiovisuel est autant au cœur des préoccupations. “C’est une forme de rétrécissement de l’ouverture, nous défendons l’inverse, poursuit Fred Jumel. Nous sommes des lieux où on tente de défendre le débat, la confrontation, l’échange, qui ne sont pas toujours acceptés par les partis d’extrême droite, or ce sont les principes de notre démocratie.”

Longtemps à la dominant de l’acoquinement Courant Scène à Vauvert, Geneviève Sarguet a histoire atteindre des stars nationales contre des concerts en Petite Camargue qui n’subsistait donc qu’une vierge de soumission contre l’outré cordiale. “Peut-être un peu rêveuse”, sézigue n’ose “pas croire que le RN va être majoritaire au niveau national”. Pendant des années, sézigue a vu son service puis un attaque. “Il y avait une idée d’humanité. C’était politique, dans le sens où on défendait de l’élitisme pour tous”, s’exclame Geneviève Sarguet. Aujourd’hui, sézigue espère “moins de son et plus de sens”.