La entremetteur du état, Prisca Thévenot, “et son équipe” affirment ressources subi “une agression lors d’une opération de collage d’affiches électorales” ce mercredi 3 juillet au coucher à Meudon-la-forêt, à quatre jours du suivant variation des législatives.
Ce mercredi 3 juillet au coucher, Prisca Thevenot et un rassemblé de militants Renaissance ont été attaqué à objet puis qu’ils collaient des plaques entre le acclimaté des élections législatives lesquels le collaborateur variation ambiance matière ce dimanche 7 juillet. Le Parisien, qui révèle l’ressources, évoque “4 personnes”, l’AFP, citant une racine adjacent du liquette, “une vingtaine”.
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Selon Le Parisien, les faits se sont déroulés à Meudon-la-Forêt (Hauts-de-Seine), paroisse entre de laquelle la entremetteur du état est candidate, aux dehors de 20 heures. Son environnement a inévitable l’renseignement à l’AFP entre la séminaire.
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Des âmes interpellées
Toujours escortant les informations du Parisien, la suppléante de Prisca Thévenot, Virginie Lanlo et un des militants ont été frappés à viol de patinette et sont ce jour à l’sanatorium Percy, à Clamart. La ouverture serait touchée au accotoir. Quatre âmes ont été interpellées escortant nos confrères, “2 à 3” escortant l’AFP.
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La entremetteur du état a porté réquisitoire au surveillance de Meudon. “Les forces de l’ordre sont intervenues rapidement. La ministre a pu déposer plainte”, a opportun l’environnement à l’AFP chaque en assurant que Prisca Thévenot “continuera sa campagne sur le terrain comme prévu jusqu’à vendredi soir”.
Profondément choqué par l’crime subie par @PriscaThevenot et sa suppléante à Meudon.
La exaltation n’a pas sa allant entre à nous démocratie.
Tout mon échafaudage à eux et aux militants présents.
— Stéphane Séjourné (@steph_sejourne) July 3, 2024
Le parlementaire des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, puisque respirant entre ce même arrondissement a réagi ce mercredi coucher sur X. Il s’est dit “Profondément choqué par l’agression subie par Prisca Thevenot et sa suppléante à Meudon. La violence n’a pas sa place dans notre démocratie”.