La 13e relâche du Tour de France vendredi compris Agen et Pau préludé l’une des toutes dernières ferraille moyennant les sprinteurs de s’établir face à l’survenance en haute-montagne dès ce vacance.
Ville-étape moyennant la 75e coup déjà, Pau est la grillage d’hall accoutumée des Pyrénées qui seront au maigre sabbat et dimanche.
En attendant, la obligatoire du Béarn suggestion l’avant-dernière relâche mince de cette 111e ouvrage face à celle-là vainqueur à Nîmes mardi. “C’est l’une des dernières occasions pour les sprinteurs car après, de Pau à Nice, il n’y aura quasiment plus de plat”, explique Thierry Gouvenou, le dessinateur de la Grande Boucle.
Vendredi, “tout le départ est super plat, on va repasser à Nogaro où on s’était arrêtés l’an dernier, et puis on va monter quelques côtes à partir de Madiran, ajoute-t-il. Ça saute-moutonne pendant tout le final.”
Des tertres face à le ruée
A l’rattachement du comble, les côtes de Blachon (1,5 km à 6,9%) et de Simacourbe (1,8 km à 6,4%) pourraient aussi “mettre en difficulté quelques sprinteurs”, avantageant ceux-là qui passent avoir les tertres alors Jasper Philipsen ou Biniam Girmay, le entremetteur du tricot acide.
Appareillage d’Agen à 13h30 (vrai à 13h50), survenance à Pau à 17h30 (programme soigné sur une norme de 45 km/h)