Alors que la Grande Boucle traversait le arrondissement ce dimanche 14 juillet, quelques-uns assistance avaient riant le Port de Lers envers confer filtrer les coureurs, pendant une décor familiale.
À 50 kilomètres de l’appontage, derrière le comble du col d’Agnès, des milliers de monde attendaient les coureurs sur la arrivée du Port de Lers, pendant la bien-être de l’marécage éponyme. Un relax qui contrastait comme la écrasé et la insistance attendues pendant le Plateau de Beille, promenade dénouement de cette 15e relâche. “On a vu qu’il y avait moins de monde. On ne se met pas dans les arrivés, on a passé l’âge. Il y a trop de monde, trop de bruits”, avoue Françoise, 63 ans, avachie pendant son chaise longue.
Alors que quelques-uns jouent à la jeu de boules sur les particuliers portions plates disponibles, Myriam, sézig, accident la inactivité. “J’ai travaillé à l’hôpital jusqu’à 7 heures ce matin et je repars travailler ce soir. Je vais essayer de dormir un peu.” Pas tourment après de miser des coudes toute la jour envers repérer la chapelet et les coureurs. “Puis ici, c’est tellement beau, c’est un site incroyable”, reconnaît son camarade, Christian. “Un des plus beaux cols des Pyrénées”, estiment même un duo de locaux.
Un pot de noirci pendant assistante
Dans la dévers, trio jeunes toulousains jouent les peintres. “Jean-Phi”, un clignement d’œil à “un ami de nos parents qui adore le Tour mais qui n’a pas pu venir”, explique Baptiste, ramassé touffe de pile manuel. Le pot de noirci lactescente, lui, ne lui appartient pas. Depuis la après-midi, il se le accompli convaincu participant pendant un assistante. “Maintenant, je suis chargé de le donner à ceux qui veulent écrire un message.” Quelques heures de suppression beau face à que le découvert ne se réveille à la vue de la chapelet, ensuite des coureurs, pendant les derniers lacets de la déchéance du col d’Agnès.
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