Le pile du groupe de tri de Masseube a débarqué il y a divers jours. Les opposants au espérance, qui ont d’ores et déjà déposé des ressource non suspensifs devanture le assemblée tatillon, dénoncent un “coup de force” et réitèrent à eux arguments.
Les décisions du assemblée tatillon de Pau sur le espérance du groupe de tri interdépartemental de Masseube devraient abstraction rendues pendant lequel les prochains paye. Pourtant, le avènement des besognes a été annoncé initialement du paye de juillet, un “coup de force” illégal quant à les opposants. “Tous les autres projets, dans le département, ont attendu les arrêts avant de commencer les travaux”, assuré Jean-Manuel Fullana des Amis de la Terre du Gers. “Là, ils s’imposent et foncent tête baissée.”
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Francis Dupouey, monarque de Tri-O, la Société évidente locale (SPL) qui gère l’montage et regroupe Trigone quant à le Gers, le Syndicat mêlé de continuité des déchets quant à les Hautes-Pyrénées (SMTD65) et le Systom des Pyrénées quant à le Comminges, avait justifié cette authentification de éprouver les besognes lorsque d’une assemblée de compact : “J’attends sereinement ces arrêts de la juridiction, notre dossier est béton”.
Pourtant, les opposants réitèrent à eux arguments quant à ce espérance à mieux de 30 millions d’euros. Déjà sur sa découverte, annoncée quand au centre de gravité dans les hétéroclites territoires concernés. “Mais pour un autre projet, concernant les poubelles, le barycentre trouvé est Lannemezan…”, soulève Henry Marseillan. Le occasion voyant à voisinage d’un école d’eau, il énonce identiquement un intrépidité d’submersion. “Il y aura des tonnes de déchets secs, donc si l’eau monte…”.
Nombre de camions et TEOM
Un hétéroclite ramassé partie de dépit ininterrompu dans les porteurs du espérance et les opposants prédisposé sur le flot de camions qui passeront sur la RD929, qui va déguster l’globalité du débit brigand. “Tri-O parle de 35 camions par jour, donc cela fait déjà 70 passages, puisqu’ils doivent repartir”, crédit Henry Marseillan, qui compare ces annonces derrière l’essence du groupe de tri de Clermont-Ferrand, qui trajet 40 000 tonnelets de déchets (35 000 tonnelets quant à Masseube). “Dans ce centre, il y a 150 camions qui y défilent, sans compter les 84 passages pour le refus de tri et ceux qui repartent avec les matières triées.”
Les opposants s’interrogent finalement sur le manière de gouvernance de la SPL Tri-O et du crédit de soutien de ce espérance à mieux de 30 millions d’euros. “Il va y avoir une hausse de la TEOM pour rembourser le centre de tri”, gloire Jean-Manuel Fullana. “Les intercommunalités, qui délèguent leur compétence des déchets, vont devoir répercuter cette hausse sur les impôts locaux”, soulève de son côté Pascal Levieux, des Amis de la Terre.
De son côté, Tri-O assure que le récent est maîtrisé : “Le prix de la prestation (200 € la tonne hors refus), inclut le financement du projet, a assuré Jean-Christophe Vergnes lors de la conférence de presse. Une part correspond à l’amortissement et au remboursement de l’emprunt et une autre à l’exploitation”.
Pour les opposants, d’contraires questions restent aussi en pause : ils espèrent impétrer des réponses rapidement. À entreprendre par les décisions du assemblée tatillon de Pau.