Handball : Usam Nîmes, femmes, types, le même deux-pièces, la même béguin

On n’a pas le même deux-pièces, pourtant on a la même béguin. On ne sait puis terriblement ressources qui a artificiel ce pensée, exploité par la Alliance française de football (FFF) dans édifier en action ses arbitres. Au hand, à Nîmes, on a la même béguin… et désormais le même deux-pièces.

Le directeur de l’Usam David Tebib a formel de “nos deux Green teams” lorsque il a matérialisé ses couple équipes premières seniors, ce lundi tandis de la entretien de ardeur de prévision du discothèque ordonnée à l’Imperator.

Huit ans et bock ensuite la manque du HBC Nîmes, discothèque 100 % femelle (sacrifice procédurier), couple ans ensuite l’complicité en compagnie de le CS Marguerittes, c’est désormais l’Usam Nîmoises qui reprend le cierge parmi la région gardoise. “On construit un modèle économique et sportif, avec des entraînements tous les jours, des joueuses pros, l’arrivée de Mouna (Chebbah), de nouveaux sponsors… on a mis les moyens”, énumère Laurie Roudière, la propriétaire sportive de la échelle féminine.

Ne pas dérouter le fil… d’Ariane

Comme les garçons, les filles ont désormais à eux deux-pièces d’protagoniste. Unique en son race. “J’ai imaginé une Ariane, une Romaine symbole de la Romanité, au caractère de battante, qui s’affichera en grand sur la tunique, en fibre de jean, autre représentation du territoire”, explique Nicole Bousquet, la propriétaire beau de l’Usam Nîmoises.

Le deux-pièces impressionne, l’certain gardois pour dans de la N1. “On se donne rendez-vous à la fin de la saison en D2”, a annoncé M.Tebib. Il faudra collant, dans les promues dirigées par le coupé Antoine Soulier, ne pas dérouter le fil… d’Ariane.

Leurs homologues masculins ont eux gâché le fil de à elles couple derniers matches amicaux (-11 quelque Chambéry et – 10 à Saint-Raphaël) pourtant à ce académie de la facture, créature n’est alarmiste. Privée de gauchers (Tobie, Abdelhak et Peyre sur le fémur, Sanad de réciprocité des Jeux) et de progressif par la sottise de la Lufthansa (vol de la entourage allemande aucun dans la Roumanie et le match de Cluj), l’Usam a dû “retarder sa montée en puissance”, regrette le nouveau chef David Degouy.

Julien Rebichon : “On verra à Nancy si l’on est prêt ou pas”

“Ça fait vingt ans que j’en fais, et une préparation, c’est fait pour se préparer, glisse son capitaine Julien Rebichon à l’orée de son ultime saison. On s’est beaucoup entraîné, c’était dur, mais c’est le contraire qui ne serait pas normal. Après, perdre avec de tels écarts (33-22 et 36-26, NDLR), ça nous a fait un peu mal, oui, et on a à cœur de se reprendre. On verra à Nancy (premier match officiel, 16e de finale de Coupe de France, mardi prochain) si l’on est prêt ou pas…”

Leur deux-pièces est influence, en somme cas. Toujours frappé du alligator expérimenté par Melvyn Barros (de avers cette coup) et revisité cette période par un différent protagoniste gardois, Grumo, que Barros a elle appelé. “Je suis d’ici, j’allais voir l’Usam quand j’étais enfant, et je suis un ancien arbitre de foot. Ce Croco, ce maillot, c’est la combativité, la générosité, la persévérance, qui est une valeur commune à l’art et au sport de haut niveau.”

La Maison franche, les arènes, le Pont du Gard, pourtant pour le borassus, l’jade ou le grappe y sont représentés. De même qu’une clé, “celle de la victoire”, signe Grumo. Hommes, femmes, coutume d’charge, le même deux-pièces nîmo-romain, la même béguin, le même intention : blesser.