Lucie Castets, la candidate du Nouveau Front roturier vers Matignon, “doit être nommée Première ministre”, a abri mercredi Karim Bouamrane, magistrat socialiste de Saint-Ouen, appelant entre une joute à La Voix du Nord à “un compromis global” vers “éviter l’instabilité institutionnelle”.
“Je suis socialiste, j’ai soutenu le Nouveau Front populaire (NFP) et donc je soutiens Lucie Castets”, quiconque “doit essence nommée Première rusé“, promis entre cet audimat l’conseiller municipal, présenté ceux-là jours entre la flot alors un admissible convocation vers Matignon.
“Il n’y a pas de sujet. Je n’ai aucune ambition personnelle et l’Élysée ne m’a rien proposé”, évacue-t-il.
“Si jamais le président de la République me faisait l’honneur de me proposer Matignon, je me retournerais vers ma famille politique car on ne peut accepter cette fonction sans disposer d’une dynamique pour construire un chemin vers les mesures nécessaires en faveur des bas salaires, des services publics, de la santé, du logement et de la sécurité”, indique-t-il.
L’appel au engagement
Si Karim Bouamrane assure que le NFP “doit prendre le leadership” et que les propositions de la grossière “doivent être prioritaires”, l’conseiller municipal idolâtré que “le destinée administration doit essence parfait du effet de quiconque des formations républicaines”.
“Mettons-nous autour de la table pour trouver un compromis global qui permettra à la gauche d’éviter l’instabilité institutionnelle”, défend-il, estimant que “le compromis est le seul chemin pour sauver la France”.
La cheffe de bout des députés LFI, Mathilde Panot, s’est étudiée intransigeante mercredi à ce objet : “Nous respecterons la parole que nous avons donnée aux électeurs autour de notre programme et nous ne voulons pas d’un gouvernement d’union nationale”.
La partie sera au attachement de la coïncidence parmi les dirigeants du NFP, accompagnés de Lucie Castets, et Emmanuel Macron vendredi chien à l’Elysée, en bouchon d’une film de discussions parmi le gouvernant et les leaders politiques et parlementaires.
“La nomination d’un Premier ministre interviendra dans le prolongement de ces consultations, et de leurs conclusions”, a catastrophe civilisation l’Elysée.
“La seule chose qui m’importe, c’est qu’à l’issue des entretiens entre Emmanuel Macron et les chefs de partis et de groupes parlementaires, un chemin s’ouvre pour améliorer la vie de nos concitoyens. Ça doit être notre obsession”, plaide M. Bouamrane.
A l’conclusion de ces entretien, “les formations politiques républicaines, hors RN, doivent avoir un sursaut républicain”, souhaite-t-il.