Un coupe plus… Bernard Blaquart, archaïque entraîneur de Nîmes Olympique, fan des Jeux Olympiques

Chaque sabbat, Midi Libre incorporation une vivre nîmoise à avaler un coupe. Elle choisit son carrefour, sa tisane… Et le porté de colloque.

Lieu : Brasserie des amusements de Lunel

Heure : 11 h

Boisson : Perrier caractère

En cette jour d’août, Bernard Blaquart, retraité des terrains professionnels de football rentre de nombreux jours de repos en parentèle. Si causer n’est avec son état, le zeppelin mafflu ne le affranchi oncques beaucoup fréquemment, lui qui entraîneur les jeunes équipes du Gallia Club de Lunel et qui fixe naturellement des conseils, “là où tout a commencé.” Mais ces un duo de dernières semaines, son oeil s’est porté sur les Jeux Olympiques de Paris. La bannière est déjà en avenue afin Los Angeles, toutefois le fétiche de ces un duo de semaines indemne du découvert adjonction bouillonnant :”La cérémonie fabuleuse, le rugby à 7 avec la magnifique adaptation de Dupont, puis Léon Marchand extraordinaire. C’est l’enchaînement qui a donné le ton de ces magnifiques Jeux Olympiques“.

La détection de authentiques amusements

Si l’éducation physique adjonction le “sport roi“, laquelle Bernard Blaquart est fan, cette quinzaine incarnait l’fripe de trouver des amusements considérablement moins médiatisés : “j’ai forcément apprécié le tennis de table, mais j’ai surtout été surpris par le badminton. Un sport que je ne suivais pas forcément, mais quelle vitesse ! Mention spéciale également au BMX, au kayak cross et au volley.

Le entraîneur de Nîmes Olympique pénétré 2015 et 2020 n’a pas acte des amusements totaux une précellence. “Le hand et le foot sont des sports dont on a l’habitude d’entendre parler. Entre les Bleus du handball décevants, et ceux du football qui se font remarquer de la mauvaise manière face à l’Argentine, ce n’est pas ce qui m’a le plus plu. J’ai tout de même regardé la finale, mais je retiens plus le basket et nos deux équipes qui échouent face aux États-Unis sur la dernière marche.” Toutefois, les victoires collectives l’ont complet aussi acte pervibrer. “La victoire par équipe au judo était magique ! Regardez simplement la joie de Teddy Riner. C’est très bien de gagner en individuel, mais la saveur en équipe est spéciale. Je pense à Léon Marchant, les émotions qu’il a ressenti lors du bronze glané en relais. Il avait pourtant décroché quatre fois l’or avant !“.