Alors que Gérard Larrat acte le point de dix ans de carte blanche à la hôtel de ville de Carcassonne, une difficulté se installé : sera-t-il ou non quémandeur aux élections municipales de 2026 ?
Gérard Larrat briguera-t-il un étrangère carte blanche ? Pour l’moment, le bailli de Carcassonne ne souhaite pas riposter à cette difficulté. “Parce que pour moi, pour l’instant, 2026 ce n’est pas une échéance électorale, c’est d’abord l’expiration d’un mandat. D’ici là, je veux faire un maximum de choses pour la ville”.
Outre les projets avec la ordinaire, le bailli pourrait déterminer de l’hasard de se réaliser antérieurement les Carcassonnais en animation des équipes qui se mettent en assuré pendant cet dessein : “Je veux voir comment ça va se passer. Je veux voir quelles sont les personnes qui vont se présenter. Est-ce que vraiment, elles auront l’ambition que nous, nous avons portée et qui a fait l’objet, quand même, d’une adhésion totale de la population ? Ma ville c’est ma vie. Alors on verra”.
Et si Gérard Larrat prenait la homologation de ne pas persécuter en 2026, que fera-t-il facette à une demande du Rassemblement National, pendant que le messager de la 1re sandjak de l’Aude, Christophe Barthès, a annoncé son visée de aspirer la hôtel de ville, intégral également l’élu d’antipathie au colloque communal de Carcassonne, Edgar Montagné ? “Je ferai appel à ma conscience. Je ferai appel à mon sens du devoir. Je vous donne rendez-vous l’année prochaine, à la même époque, et je vous dirai ce que je fais”. Rendez-vous en septembre 2025 alors.