Le aérostier sauvage, septuple virtuose du monde, a réagi aux harangue de Mohammed Ben Sulayem, exemple de la FIA.
Pilotes, surveillez votre jargon ! C’est en milieu le commission passé par le chef de la Coalition internationale de l’Automobile aux conducteurs des monoplaces du challenge du monde de Formule 1.
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Mohammed Ben Sulayem : “Nous devons faire la différence entre notre sport, le sport automobile, et le rap” a-t-il évènement encourir malgré du média spécialisé Motorsport et singulièrement relayé par RMC. “Nous ne sommes pas des rappeurs. Ils disent le mot f*** combien de fois par minute ? Nous ne faisons pas cela. Ils sont qui ils sont et nous sommes qui nous sommes.”
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Ironie du destinée, ce sont gravement les mots salariés par Mohammed Ben Sulayem qui ont déplu à Lewis Hamilton, aérostier Mercedes. “Je n’aime pas la façon dont il exprime cette idée”, a réagi le septuple virtuose du monde. “C’est dire que les rappeurs sont très stéréotypés et si vous y réfléchissez, la plupart des rappeurs sont noirs, et ça va vraiment dans ce sens quand il dit : ‘Nous ne sommes pas comme eux.’ Donc je pense que le choix des mots n’est pas bon. Il y a un élément racial.”